
Les personnes âgées sont encore peu nombreuses, mais leur poids dans la structure de la population réunionnaise augmentera fortement dans les prochaines années. En 2040, l’île comptera 219 000 personnes âgées d’au moins 65 ans, contre 62 000 aujourd’hui. La prise en charge et la solidarité envers ces personnes âgées constituent un des principaux enjeux de La Réunion pour les années à venir.
La solidarité familiale en perte de vitesse
Les personnes âgées vivent majoritairement en couple, avec ou sans enfant. Néanmoins, depuis quelques années, elles vivent plus souvent seules. La solidarité familiale, jusque là profondément ancrée dans les modes de vie réunionnais, est aujourd’hui en perte de vitesse. Mais la vie en institution spécialisée reste encore marginale.
Des logements spacieux, mais qui comportent des défauts
Les logements qu’occupent les personnes âgées pourraient sembler idéals aux plus jeunes : une maison individuelle, spacieuse, dont ils sont propriétaires. Les enfants partis, les personnes conservent généralement le même logement, ce qui leur procure plus d’espace.
Néanmoins, s’agissant plus souvent de logements anciens, ils accusent quelques défauts, notamment au niveau de l’installation électrique. À un âge où apparaissent les premiers handicaps, les grands seniors sont les plus pénalisés par l’inconfort de leur logement.
L’activité baisse dès 50 ans
Dans un contexte de chômage et de recul de l’âge légal de départ à la retraite, l’emploi des seniors fait l’objet de toutes les attentions. Entre 50 et 64 ans, un peu plus de la moitié des Réunionnais sont actifs, c’est à dire qu’ils travaillent ou sont au chômage.
Les autres ne se portent pas sur le marché du travail, soit parce qu’ils sont à la retraite, qu’ils n’ont jamais travaillé, qu’ils n’espèrent plus trouver d’emploi ou qu’ils bénéficient d’un revenu de solidarité. L’activité baisse dès 50 ans, mais l’augmentation du taux d’activité observée sur les trois dernières années laisse à penser que le comportement des seniors sur le marché de l’emploi évolue.
La solidarité familiale en perte de vitesse
Les personnes âgées vivent majoritairement en couple, avec ou sans enfant. Néanmoins, depuis quelques années, elles vivent plus souvent seules. La solidarité familiale, jusque là profondément ancrée dans les modes de vie réunionnais, est aujourd’hui en perte de vitesse. Mais la vie en institution spécialisée reste encore marginale.
Des logements spacieux, mais qui comportent des défauts
Les logements qu’occupent les personnes âgées pourraient sembler idéals aux plus jeunes : une maison individuelle, spacieuse, dont ils sont propriétaires. Les enfants partis, les personnes conservent généralement le même logement, ce qui leur procure plus d’espace.
Néanmoins, s’agissant plus souvent de logements anciens, ils accusent quelques défauts, notamment au niveau de l’installation électrique. À un âge où apparaissent les premiers handicaps, les grands seniors sont les plus pénalisés par l’inconfort de leur logement.
L’activité baisse dès 50 ans
Dans un contexte de chômage et de recul de l’âge légal de départ à la retraite, l’emploi des seniors fait l’objet de toutes les attentions. Entre 50 et 64 ans, un peu plus de la moitié des Réunionnais sont actifs, c’est à dire qu’ils travaillent ou sont au chômage.
Les autres ne se portent pas sur le marché du travail, soit parce qu’ils sont à la retraite, qu’ils n’ont jamais travaillé, qu’ils n’espèrent plus trouver d’emploi ou qu’ils bénéficient d’un revenu de solidarité. L’activité baisse dès 50 ans, mais l’augmentation du taux d’activité observée sur les trois dernières années laisse à penser que le comportement des seniors sur le marché de l’emploi évolue.