Un blocage persiste alors que se profile le report du top départ de la campagne sucrière 2020 prévue lundi 29 juin sur le bassin Nord-Est.
Le conseil d’administration du CTICS n’a pas abouti sur un accord ce vendredi soir. La signature du protocole de campagne approuvé par les planteurs et l’usinier Tereos attendra. Les cannes déjà coupées dans les champs de quelques agriculteurs du bassin Nord-Est ne pourront être traitées par l'usine de Bois rouge ce lundi.
La faute à un point de blocage sur la procédure d’échantillonnage de la richesse de la canne qui continue de figer les positions des deux camps.
Président du Centre technique interprofessionnel de la canne et du sucre (CTICS) en tant que représentant du syndicat FDSEA, Edvin Payet confirme ce vendredi soir que l’accord n’a pu être trouvé, et ce malgré une semaine jalonnée de trois rendez-vous de négociations tout de même : lundi dernier puis jeudi 25 juin lors d’une commission mixte d’usine.
"Il y a toujours un blocage sur l’échantillonnage point-arrière. Nous ce qu’on a proposé c’est un échantillonnage 1 mètre arrière-remorque, autrement dit à 30 cm de la ridelle. Si ça ne dépasse pas 1 mètre, automatiquement ça sera percé dans la remorque", rappelle-t-il le point de vue des planteurs.
La seule avancée notable de ce round de discussions qui s'est tenu du côté de la Providence à Saint-Denis ce vendredi, concerne la levée des menaces de sanctions pour tout planteur qui viendrait faire échantillonner son chargement tout en ne respectant pas la procédure d’échantillonnage voulue par Tereos.
A moins d’un accord de tous les protagonistes pour accélérer la formation d’un nouveau conseil d’administration du CTICS, celui-ci ne sera programmé que dans une semaine, autant dire un délai qui générera automatiquement des pertes pour les planteurs qui ont déjà commencé à couper la canne cette semaine dans l'optique d'un début de campagne le lundi 29.
Edvin Payet interrogé par Régis Labrousse à l'issue du conseil d'administration du Centre technique interprofessionnel de la canne et du sucre :
Le conseil d’administration du CTICS n’a pas abouti sur un accord ce vendredi soir. La signature du protocole de campagne approuvé par les planteurs et l’usinier Tereos attendra. Les cannes déjà coupées dans les champs de quelques agriculteurs du bassin Nord-Est ne pourront être traitées par l'usine de Bois rouge ce lundi.
La faute à un point de blocage sur la procédure d’échantillonnage de la richesse de la canne qui continue de figer les positions des deux camps.
Président du Centre technique interprofessionnel de la canne et du sucre (CTICS) en tant que représentant du syndicat FDSEA, Edvin Payet confirme ce vendredi soir que l’accord n’a pu être trouvé, et ce malgré une semaine jalonnée de trois rendez-vous de négociations tout de même : lundi dernier puis jeudi 25 juin lors d’une commission mixte d’usine.
"Il y a toujours un blocage sur l’échantillonnage point-arrière. Nous ce qu’on a proposé c’est un échantillonnage 1 mètre arrière-remorque, autrement dit à 30 cm de la ridelle. Si ça ne dépasse pas 1 mètre, automatiquement ça sera percé dans la remorque", rappelle-t-il le point de vue des planteurs.
La seule avancée notable de ce round de discussions qui s'est tenu du côté de la Providence à Saint-Denis ce vendredi, concerne la levée des menaces de sanctions pour tout planteur qui viendrait faire échantillonner son chargement tout en ne respectant pas la procédure d’échantillonnage voulue par Tereos.
A moins d’un accord de tous les protagonistes pour accélérer la formation d’un nouveau conseil d’administration du CTICS, celui-ci ne sera programmé que dans une semaine, autant dire un délai qui générera automatiquement des pertes pour les planteurs qui ont déjà commencé à couper la canne cette semaine dans l'optique d'un début de campagne le lundi 29.
Edvin Payet interrogé par Régis Labrousse à l'issue du conseil d'administration du Centre technique interprofessionnel de la canne et du sucre :