Un chien frappé selon l’humeur de son propriétaire. Voilà la scène à laquelle assistent des habitants d’un immeuble de Sainte-Clotilde depuis un an.
Le premier signalement auprès de la DAAF a été fait le 12 juillet 2022 et une plainte a même été déposée par quelqu'un du voisinage le 30 août 2022 au commissariat de Malartic. Un équipage de police s’est rendu sur place, ce qui a permis d’offrir un répit pendant un mois à l'animal.
Mais en octobre, rebelote. L’association APEBA est de nouveau destinataire d’images tournées par le voisinage. Le chien est de nouveau battu sans que son propriétaire ne se préoccupe, finalement, d’être vu ou pas. Le chien est frappé, étranglé lorsque son propriétaire entre dans un état de colère ou, lorsque le chien fait ses besoins, il le frappe à la main ou avec un balai.
Silence radio à la DAAF
L’association n’a eu de cesse de faire remonter ces éléments au service préfectoral de la Direction de l’alimentation et de l’Agriculture (DAAF) mais la situation n’a pas évolué en 2023.
La dernière preuve est une nouvelle fois arrivée par l’image ce mardi 30 janvier 2023 lorsqu’un voisin décide de poster deux bouts de video illustrant une fois de plus les mauvais traitements subis par cet animal. Contactées ce mardi après-midi, ni la DAAF ni la Police n’ont répondu à nos questions sur ce cas précis. La Police devrait néanmoins communiquer prochainement sur cette thématique.
L’association APEBA se dit en tous les cas prête à accueillir ce chien mais seules les autorités citées précédemment disposent la compétence pour intervenir au domicile d’un particulier soupçonné de maltraitance envers un "être vivant doué de sensibilité" comme le définit l’article 515-14 du code civil censé faire évoluer la question de la protection des animaux depuis février 2015.
Le premier signalement auprès de la DAAF a été fait le 12 juillet 2022 et une plainte a même été déposée par quelqu'un du voisinage le 30 août 2022 au commissariat de Malartic. Un équipage de police s’est rendu sur place, ce qui a permis d’offrir un répit pendant un mois à l'animal.
Mais en octobre, rebelote. L’association APEBA est de nouveau destinataire d’images tournées par le voisinage. Le chien est de nouveau battu sans que son propriétaire ne se préoccupe, finalement, d’être vu ou pas. Le chien est frappé, étranglé lorsque son propriétaire entre dans un état de colère ou, lorsque le chien fait ses besoins, il le frappe à la main ou avec un balai.
Silence radio à la DAAF
L’association n’a eu de cesse de faire remonter ces éléments au service préfectoral de la Direction de l’alimentation et de l’Agriculture (DAAF) mais la situation n’a pas évolué en 2023.
La dernière preuve est une nouvelle fois arrivée par l’image ce mardi 30 janvier 2023 lorsqu’un voisin décide de poster deux bouts de video illustrant une fois de plus les mauvais traitements subis par cet animal. Contactées ce mardi après-midi, ni la DAAF ni la Police n’ont répondu à nos questions sur ce cas précis. La Police devrait néanmoins communiquer prochainement sur cette thématique.
L’association APEBA se dit en tous les cas prête à accueillir ce chien mais seules les autorités citées précédemment disposent la compétence pour intervenir au domicile d’un particulier soupçonné de maltraitance envers un "être vivant doué de sensibilité" comme le définit l’article 515-14 du code civil censé faire évoluer la question de la protection des animaux depuis février 2015.