Une rampe de lancement vers les législatives. Le PACTE signe le retour de l’ancien député-maire aux affaires politiques. Mais pas question de brûler les étapes. Thierry Robert annonce vouloir persévérer dans le travail de proximité pour évaluer le niveau d’adhésion de la population. Sont directement concernés les électeurs de la 7ème circonscription qui comprend les Avirons, l'Etang-Salé, Saint-Louis, une partie de Saint-Paul, Trois Bassins et forcément Saint-Leu.
Cette adhésion populaire, Thierry Robert en fait une condition incontournable avant d’officialiser quelque ambition de candidature.
A pas de velours, l’ancien député de la 7ème préfère inverser la démarche de la décision. L’élan populaire suscité par son come back doit être le juge de paix.
Sa popularité est-elle intacte ?
"Je n’ai jamais eu l’habitude de mentir. J’ai toujours dit la vérité en toutes circonstances. Je n’exclus pas d’être candidat aux législatives mais il y a un élément important. Et ce « mais », c’est que je ne vais pas aller à ces élections législatives s’il n’y a pas une vraie volonté de la population de me soutenir", évoque-t-il prudemment. Incertain qu'il est d’être toujours autant désiré après trois ans d’un silence forcé mais tout relatif grâce à cette parenthèse du mardi matin sur les ondes de radio Freedom.
"Si je sens que la population ne me désire pas, pour parler clairement, je n’irai pas", développe-t-il son propos.
Si ce vent populaire souffle une nouvelle fois en sa faveur et le pousse à se présenter, restera à évaluer l’éventuelle érosion de son score de 2022 après sa sortie de piste de 2018. Lors des deux derniers rounds des législatives, Thierry Robert avait littéralement écrasé la concurrence.
En 2017 il affichait un résultat plus que probant de 60,78% des suffrages exprimés soit un score tout aussi flatteur que cinq ans plus tôt. Il avait remporté son siège à l'Assemblée nationale par 66,90% des suffrages en 2012.
Sa réponse en vidéo :
Cette adhésion populaire, Thierry Robert en fait une condition incontournable avant d’officialiser quelque ambition de candidature.
A pas de velours, l’ancien député de la 7ème préfère inverser la démarche de la décision. L’élan populaire suscité par son come back doit être le juge de paix.
Sa popularité est-elle intacte ?
"Je n’ai jamais eu l’habitude de mentir. J’ai toujours dit la vérité en toutes circonstances. Je n’exclus pas d’être candidat aux législatives mais il y a un élément important. Et ce « mais », c’est que je ne vais pas aller à ces élections législatives s’il n’y a pas une vraie volonté de la population de me soutenir", évoque-t-il prudemment. Incertain qu'il est d’être toujours autant désiré après trois ans d’un silence forcé mais tout relatif grâce à cette parenthèse du mardi matin sur les ondes de radio Freedom.
"Si je sens que la population ne me désire pas, pour parler clairement, je n’irai pas", développe-t-il son propos.
Si ce vent populaire souffle une nouvelle fois en sa faveur et le pousse à se présenter, restera à évaluer l’éventuelle érosion de son score de 2022 après sa sortie de piste de 2018. Lors des deux derniers rounds des législatives, Thierry Robert avait littéralement écrasé la concurrence.
En 2017 il affichait un résultat plus que probant de 60,78% des suffrages exprimés soit un score tout aussi flatteur que cinq ans plus tôt. Il avait remporté son siège à l'Assemblée nationale par 66,90% des suffrages en 2012.
Sa réponse en vidéo :