Annick Girardin a commencé par annoncer que les aéroports ne sont pas fermés. Ceci afin de garder un lien, d’acheminer du fret et des médicaments et de permettre aux renforts humains d’arriver.
Mais à compter de ce mardi 24 mars, il est interdit de se déplacer de et vers les autres territoires. Seules 3 exceptions permettront de prendre l’avion :
-Des raisons familiales impérieuses pour lesquelles un justificatif sera réclamé. Un décès par exemple.
-Une urgence médicale pour laquelle un certificat est obligatoire, sauf en lien avec le COVID-19.
-Un déplacement professionnel ne pouvant absolument pas être différé. L’employeur devant fournir une attestation avec un motif valable.
Tous ceux qui auront fait un trajet seront placés en quarantaine. Un confinement strict de 14 jours leur sera imposé. Toute sortie sur le territoire leur sera interdite. Annick Girardin estime que c’est là un "régime draconien qui va au-delà du confinement imposé à toute la population". Les forces de l’ordre seront mobilisées par accomplir cette surveillance.
La ministre des Outre-mer a exprimé ses regrets aux étudiants de ne pas pouvoir rentrer chez eux. Elle les met en garde contre le danger qu’ils peuvent représenter pour leurs proches.
Les documents sont en ligne ici
Mais à compter de ce mardi 24 mars, il est interdit de se déplacer de et vers les autres territoires. Seules 3 exceptions permettront de prendre l’avion :
-Des raisons familiales impérieuses pour lesquelles un justificatif sera réclamé. Un décès par exemple.
-Une urgence médicale pour laquelle un certificat est obligatoire, sauf en lien avec le COVID-19.
-Un déplacement professionnel ne pouvant absolument pas être différé. L’employeur devant fournir une attestation avec un motif valable.
Tous ceux qui auront fait un trajet seront placés en quarantaine. Un confinement strict de 14 jours leur sera imposé. Toute sortie sur le territoire leur sera interdite. Annick Girardin estime que c’est là un "régime draconien qui va au-delà du confinement imposé à toute la population". Les forces de l’ordre seront mobilisées par accomplir cette surveillance.
La ministre des Outre-mer a exprimé ses regrets aux étudiants de ne pas pouvoir rentrer chez eux. Elle les met en garde contre le danger qu’ils peuvent représenter pour leurs proches.
Les documents sont en ligne ici