Depuis 2014, la loi française permet désormais la pratique des rencontres entre condamnés et victimes. Ces rencontres entre détenu.e.s et victimes sont des espaces de dialogue mis en place entre un groupe de personnes auteures de crimes et un groupe de personnes victimes anonymes qui ne sont pas concernées par la même affaire, mais par le même type d'infraction. Ces échanges peuvent avoir lieu en milieu fermé ou en dehors des établissement pénitentiaire lorsque l'auteur est incarcéré.
Victime, auteurs d'infractions: Comprendre l'autre
Ces espaces de dialogue ont pour objectif de permettre aux participants d'échanger autour des répercussions de l'acte subi ou commis, de permettre aux participants d'exprimer leurs émotions, leurs attentes et leurs besoins. Il s'agit également de conduire chacun à considérer le point de vue de l'autre et à en tenir compte. Ces rencontres sont proposées avant, pendant et après le procès pénal.
Cette démarche de justice restaurative est totalement volontaire. La participation est gratuite, les frais de déplacements sont également pris en charge si nécessaire. Tous les échanges sont totalement confidentiels et les participants peuvent quitter le dispositif à tout moment. Des psychologues peuvent intervenir sur demande, pour soutenir les membres du débat. Tout est mis en oeuvre sous le contrôle de l'autorité judiciaire et/ou de l'administration pénitentiaire.
Médiation entre l'agresseur et sa propre victime
Les volontaires peuvent également accéder à la médiation restaurative. C'est aussi un espace de dialogue mais cette fois, entre une personne victime et une personne auteure concernées par la même infraction. Cette médiation peut être directe, ou indirecte par l'intermédiaire de tout support permettant l'échange.
Un stand d'accueil, animé par un coordinateur de justice restaurative, est à disposition du public au tribunal judiciaire de Saint-Denis jusqu'au vendredi 20 novembre 2020.
Victime, auteurs d'infractions: Comprendre l'autre
Ces espaces de dialogue ont pour objectif de permettre aux participants d'échanger autour des répercussions de l'acte subi ou commis, de permettre aux participants d'exprimer leurs émotions, leurs attentes et leurs besoins. Il s'agit également de conduire chacun à considérer le point de vue de l'autre et à en tenir compte. Ces rencontres sont proposées avant, pendant et après le procès pénal.
Cette démarche de justice restaurative est totalement volontaire. La participation est gratuite, les frais de déplacements sont également pris en charge si nécessaire. Tous les échanges sont totalement confidentiels et les participants peuvent quitter le dispositif à tout moment. Des psychologues peuvent intervenir sur demande, pour soutenir les membres du débat. Tout est mis en oeuvre sous le contrôle de l'autorité judiciaire et/ou de l'administration pénitentiaire.
Médiation entre l'agresseur et sa propre victime
Les volontaires peuvent également accéder à la médiation restaurative. C'est aussi un espace de dialogue mais cette fois, entre une personne victime et une personne auteure concernées par la même infraction. Cette médiation peut être directe, ou indirecte par l'intermédiaire de tout support permettant l'échange.
Un stand d'accueil, animé par un coordinateur de justice restaurative, est à disposition du public au tribunal judiciaire de Saint-Denis jusqu'au vendredi 20 novembre 2020.