Les rassemblements de pousseurs retrouvent leurs habitudes d'avant couvre-feu. A la veille du week end, les forces de l'ordre se rappellent eux aussi au bon souvenirs des conducteurs.
Les gendarmes de la compagnie de Saint-Benoît campent sur le parking des grandes surfaces de Duparc Sainte-Marie, haut lieu de rassemblement des voitures sono qui poussent les décibels jusque tard dans la nuit.
Cette opération, qui se fait sous réquisition de la procureure de la République, vise donc en premier lieu les voitures modifiées. En se positionnant dès 19H30 à cet endroit, les forces de l'ordre veulent ainsi "éviter l’installation des véhicules modifiés qui entrainent des nuisances sonores vis-à-vis du voisinage", indique le capitaine Jean-Bruno Perchicot.
Les contrôles menés cette nuit viseront également à rassurer après la survenue d’exactions commises contre les petits commerces. Enfin, comme de plus en plus souvent lors des contrôles routiers, l’usage de stupéfiants sera aussi ciblé.
Enfin, l’actualité Covid a évolué favorablement depuis deux semaines avec la levée totale de nombreuses mesures. Néanmoins, d'autres demeurent ou ne sont levées que partiellement. Ainsi, les gendarmes comptent veiller à ce que les nouvelles dispositions de l’arrêté du préfet soient respectées. Là encore en guise de piqûre de rappel avant le week end que tous souhaitent sans dégâts.
Les gendarmes ont relevé 27 infractions après avoir contrôlé 65 véhicules. 4 excès de vitesse ont été constatés, 3 utilisations du téléphone au volant et 3 non-apposition du certificat d'assurance.
Les militaires ont aussi intercepté un conducteur qui roulait malgré une suspension de permis, un autre sans carte grise, un troisième sans assurance et un quatrième qui n'avait pas réalisé la mutation de sa carte grise.
Plusieurs autres infractions ont été constatées comme l'absence d'utilisation du clignotant, un stationnement sur une place handicapée, un rétroviseur manquant sur un deux-roues, le franchissement d'une ligne blanche continue.
Par ailleurs, un conducteur de deux-roues ne portait pas son casque, un automobiliste était installé sur un siège non homologué. Deux autres ont utilisé leurs feux anti-brouillard, d'autres ont aussi été verbalisé pour tapage.
Enfin, un automobiliste roulait avec un véhicule dont l'immobilisation avait été prononcée.
Les gendarmes de la compagnie de Saint-Benoît campent sur le parking des grandes surfaces de Duparc Sainte-Marie, haut lieu de rassemblement des voitures sono qui poussent les décibels jusque tard dans la nuit.
Cette opération, qui se fait sous réquisition de la procureure de la République, vise donc en premier lieu les voitures modifiées. En se positionnant dès 19H30 à cet endroit, les forces de l'ordre veulent ainsi "éviter l’installation des véhicules modifiés qui entrainent des nuisances sonores vis-à-vis du voisinage", indique le capitaine Jean-Bruno Perchicot.
Les contrôles menés cette nuit viseront également à rassurer après la survenue d’exactions commises contre les petits commerces. Enfin, comme de plus en plus souvent lors des contrôles routiers, l’usage de stupéfiants sera aussi ciblé.
Enfin, l’actualité Covid a évolué favorablement depuis deux semaines avec la levée totale de nombreuses mesures. Néanmoins, d'autres demeurent ou ne sont levées que partiellement. Ainsi, les gendarmes comptent veiller à ce que les nouvelles dispositions de l’arrêté du préfet soient respectées. Là encore en guise de piqûre de rappel avant le week end que tous souhaitent sans dégâts.
Les gendarmes ont relevé 27 infractions après avoir contrôlé 65 véhicules. 4 excès de vitesse ont été constatés, 3 utilisations du téléphone au volant et 3 non-apposition du certificat d'assurance.
Les militaires ont aussi intercepté un conducteur qui roulait malgré une suspension de permis, un autre sans carte grise, un troisième sans assurance et un quatrième qui n'avait pas réalisé la mutation de sa carte grise.
Plusieurs autres infractions ont été constatées comme l'absence d'utilisation du clignotant, un stationnement sur une place handicapée, un rétroviseur manquant sur un deux-roues, le franchissement d'une ligne blanche continue.
Par ailleurs, un conducteur de deux-roues ne portait pas son casque, un automobiliste était installé sur un siège non homologué. Deux autres ont utilisé leurs feux anti-brouillard, d'autres ont aussi été verbalisé pour tapage.
Enfin, un automobiliste roulait avec un véhicule dont l'immobilisation avait été prononcée.