
Le président de l'association de protection animale Gueule d'amour, située à Mayotte, a fait une nouvelle découverte ce mardi. "On m'a signalé des chiens dans cette forêt", explique-t-il dans une vidéo filmée en direct sur les réseaux sociaux.
Quelques minutes plus tard, il découvre deux chiots retenus à l'intérieur d'un tronc d'arbres, avec un crabe. Les animaux sont bloqués par un grillage. "Ils ont fait des box carrément, j'hallucine", s'exclame Tyler Biasini, qui lutte au quotidien pour faire sortir des animaux de la misère.
Il s'empare alors des deux chiots (qui seront soignés puis mis à l'adoption) avant de repartir prestement, de peur de se faire caillasser ou frapper. Pour mémoire, dans la nuit du 21 au 22 décembre, son refuge avait été la proie d'une bande de jeunes délinquants venus saccager son chenil et voler de nombreux chiens. Une vengeance, selon celui qui avait dénoncé l'organisation de combats de chiens.
Derrière cette problématique de maltraitance animale se cachent des maux plus profond comme la violence dans l'île et l'inaction politique. "Quand nos élus vont-ils se rendre compte de ce qu’il se passe ? Vivons-nous sur la même île ?", s'insurge le président associatif.
Quelques minutes plus tard, il découvre deux chiots retenus à l'intérieur d'un tronc d'arbres, avec un crabe. Les animaux sont bloqués par un grillage. "Ils ont fait des box carrément, j'hallucine", s'exclame Tyler Biasini, qui lutte au quotidien pour faire sortir des animaux de la misère.
Il s'empare alors des deux chiots (qui seront soignés puis mis à l'adoption) avant de repartir prestement, de peur de se faire caillasser ou frapper. Pour mémoire, dans la nuit du 21 au 22 décembre, son refuge avait été la proie d'une bande de jeunes délinquants venus saccager son chenil et voler de nombreux chiens. Une vengeance, selon celui qui avait dénoncé l'organisation de combats de chiens.
Derrière cette problématique de maltraitance animale se cachent des maux plus profond comme la violence dans l'île et l'inaction politique. "Quand nos élus vont-ils se rendre compte de ce qu’il se passe ? Vivons-nous sur la même île ?", s'insurge le président associatif.