
Photos : Facebook - Jace
En 1992, le traité de Maastricht était signé, Bill Clinton devenait président des États-Unis, le Danemark remportait l’Euro à la surprise générale tandis que le monde s’émerveillait devant 12 basketteurs américains aux JO de Barcelone.
Cette même année, dans un lieu appelé "le squat" à Saint-Denis, un jeune homme allait donner deux coups de graffiti qui changeraient sa vie. Sans le savoir, ces bombes de peinture marron et noire ont donné naissance à un être aussi simple qu’attractif. Il ne manquait plus qu’à le nommer : ce sera le Gouzou.
Ce jeune homme n’est autre que Jace, qui depuis n’a cessé de faire vivre sa créature. À l’image de cet art longtemps honni, le Gouzou est longtemps resté un paria que les autorités n’appréciaient guère. Mais au fur et à mesure de ses péripéties, nombreux sont ceux qui se sont attachés à ce petit personnage.
Une sympathie qui s’est transformée en adoration tant ses aventures aux quatre coins de l’île ont marqué des générations. Car oui, cela fait déjà 30 ans que le Gouzou existe. Son créateur a donc décidé de revenir sur l’incroyable destin de la mascotte réunionnaise.
Cette même année, dans un lieu appelé "le squat" à Saint-Denis, un jeune homme allait donner deux coups de graffiti qui changeraient sa vie. Sans le savoir, ces bombes de peinture marron et noire ont donné naissance à un être aussi simple qu’attractif. Il ne manquait plus qu’à le nommer : ce sera le Gouzou.
Ce jeune homme n’est autre que Jace, qui depuis n’a cessé de faire vivre sa créature. À l’image de cet art longtemps honni, le Gouzou est longtemps resté un paria que les autorités n’appréciaient guère. Mais au fur et à mesure de ses péripéties, nombreux sont ceux qui se sont attachés à ce petit personnage.
Une sympathie qui s’est transformée en adoration tant ses aventures aux quatre coins de l’île ont marqué des générations. Car oui, cela fait déjà 30 ans que le Gouzou existe. Son créateur a donc décidé de revenir sur l’incroyable destin de la mascotte réunionnaise.