Ce nouveau partenariat se déclinera en quatre axes. Tout d'abord l'accès aux droits et aux soins des populations fragiles. La convention nouvellement signée permettra de répondre aux besoins des usagers en matière d'accompagnement, d'information et de simplification des dispositifs et mettre fin à la rupture des droits.
Ericka Bareigts pense notamment au retour à domicile en fin d'hospitalisation. "Il y a des prestations de la Sécurité sociale qui accompagnent ce retour à domicile budgétairement, psychologiquement, c'est inconnu. Nous allons aller vers les personnes et donner les informations", indique l'édile dionysienne. "Nous sommes dans un pays qui protège, qui crée le droit à la protection de la santé mais le droit devient de plus en plus complexe. Or, nous avons des dispositifs qui se complètent. Avec cette convention, c'est la mise en commun du savoir-faire des expériences communes pour mieux servir les Dionysiennes et les Dionysiens", poursuit la maire du chef-lieu.
"Il faut être redondant sur les informations transmises"
Cette dernière tient à rappeler que sa majorité, "ainsi que la précédente", n'ont cessé de travailler sur cet accès au droit de la population dionysienne. Ericka Bareigts prend pour preuve le taux de délinquance "particulièrement bas" de Saint-Denis (37 actes de délinquance pour 1000 habitants) comparé aux villes de même strate en métropole comme à Nîmes (70 pour 100 000 habitants). "Dans une ville aussi dense que la nôtre, avec autant de pauvreté, avec un taux de familles monoparentales de l'ordre de 44%, nous arrivons quand même à avoir un taux de délinquance aussi faible. Cela est dû au travail engagé par nos équipes sur l'accès au droit de nos concitoyens sans oublier, bien entendu, que cela se fait grâce à la collaboration avec la police nationale", assure Ericka Bareigts.
Deuxième axe de la dite convention : informer et sensibiliser sur les offres de service de la Sécurité sociale et à son actualité. Cela passe par la facilitation des démarches des usagers par le biais de l'utilisation des offres de services et par la transmission de la bonne information au bon interlocuteur. "Pour nous il est important qu'on puisse ensemble repérer les personnes qui sont dans des situations de grande précarité et de les accompagner au mieux dans leur parcours de vie", confie Nicole Éthève, présidente du conseil d'administration de la CGSS.
La convention renouvelée ce jour prévoit également le déploiement auprès du personnel communal des dispositifs de la CGSS destinés aux employeurs mais aussi une communication plus poussée via l'échange des informations entre les acteurs partenaires afin de favoriser le dialogue. "Le but est de ne pas opérer de ligne de fracture dans la prise en charge du public car on sait, et la crise sanitaire qui s'est installée est là pour nous le rappeler, qu'il faut être redondant sur les informations transmises. On ne s'adresse jamais aux mêmes personnes car elles évoluent aussi dans leur parcours", insiste Nicole Éthève.
Ericka Bareigts pense notamment au retour à domicile en fin d'hospitalisation. "Il y a des prestations de la Sécurité sociale qui accompagnent ce retour à domicile budgétairement, psychologiquement, c'est inconnu. Nous allons aller vers les personnes et donner les informations", indique l'édile dionysienne. "Nous sommes dans un pays qui protège, qui crée le droit à la protection de la santé mais le droit devient de plus en plus complexe. Or, nous avons des dispositifs qui se complètent. Avec cette convention, c'est la mise en commun du savoir-faire des expériences communes pour mieux servir les Dionysiennes et les Dionysiens", poursuit la maire du chef-lieu.
"Il faut être redondant sur les informations transmises"
Cette dernière tient à rappeler que sa majorité, "ainsi que la précédente", n'ont cessé de travailler sur cet accès au droit de la population dionysienne. Ericka Bareigts prend pour preuve le taux de délinquance "particulièrement bas" de Saint-Denis (37 actes de délinquance pour 1000 habitants) comparé aux villes de même strate en métropole comme à Nîmes (70 pour 100 000 habitants). "Dans une ville aussi dense que la nôtre, avec autant de pauvreté, avec un taux de familles monoparentales de l'ordre de 44%, nous arrivons quand même à avoir un taux de délinquance aussi faible. Cela est dû au travail engagé par nos équipes sur l'accès au droit de nos concitoyens sans oublier, bien entendu, que cela se fait grâce à la collaboration avec la police nationale", assure Ericka Bareigts.
Deuxième axe de la dite convention : informer et sensibiliser sur les offres de service de la Sécurité sociale et à son actualité. Cela passe par la facilitation des démarches des usagers par le biais de l'utilisation des offres de services et par la transmission de la bonne information au bon interlocuteur. "Pour nous il est important qu'on puisse ensemble repérer les personnes qui sont dans des situations de grande précarité et de les accompagner au mieux dans leur parcours de vie", confie Nicole Éthève, présidente du conseil d'administration de la CGSS.
La convention renouvelée ce jour prévoit également le déploiement auprès du personnel communal des dispositifs de la CGSS destinés aux employeurs mais aussi une communication plus poussée via l'échange des informations entre les acteurs partenaires afin de favoriser le dialogue. "Le but est de ne pas opérer de ligne de fracture dans la prise en charge du public car on sait, et la crise sanitaire qui s'est installée est là pour nous le rappeler, qu'il faut être redondant sur les informations transmises. On ne s'adresse jamais aux mêmes personnes car elles évoluent aussi dans leur parcours", insiste Nicole Éthève.