Le président du syndicat réunionnais des transporteurs et terrassiers (SRTT) était de toutes les actions des transporteurs ces dernières années. mais aujourd'hui, rien ne va plus entre lui et le clan Caroupaye.
Hubert Ponapin déplore le partage du marché de remblaiement sur son volet du MT6-5, côté nord de la NRL. Ce lundi matin, il a disposé ses camions pour empêcher les camions des autres groupements de transporteurs d'accéder au chantier. Il retrace un épisode fâcheux qui s'est déroulé récemment.
"Il a manipulé les autres. Tout le monde le suit !"
"Arrivé au partage, monsieur Caroupaye a décidé comment faire le partage. C’est lui décide, qui donne une liste et comment on partage. Je vais vous dire comment il a partagé : 45% pour lui, 10% pour son fils. ça fait 55%. Il reste 45% et on doit le partager à quatre. Nous on a eu que 10 donc aujourd’hui on se retrouve sans rien. On n‘est pas d’accord. Même les 10% aujourd’hui nous ont été enlevés. Ce n’est pas normal", affirme le président du SRTT alors que le président de la FNTR Jean-Gaël Rivière, autrement dit le syndicat historique de Jean-Bernard Caroupaye, faisait de son côté valoir le fait qu'Hubert Ponapin profiterait de ses parts dans deux groupements.
Hubert Ponapin précise que malgré les alertes données très tôt ce matin comme quoi il allait empêcher l'entrée du chantier MT6-5, la FNTR aurait quand même envoyé ses camions. Il en tire donc la conclusion que le syndicat l'a fait exprès pour provoquer des embouteillages et l'imputer à l'action du SRTT. Hubert Ponapin a lui aussi fait déplacer un huissier pour certifier qu'il ne gênait en rien les autres parties du chantier de la NRL.
La seule issue envisagée à ce stade, et comme à chaque fois, "il faut qu’on les retrouve autour d’une table", espère Hubert Ponapin tout remonté contre Jean-Bernard Caroupaye. "On a répondu comme tout le monde (à l'appel d'offres), comment nous exclure ? …C’est pas possible ! Un groupement comme la GTOI cède sous la pression d’un monsieur qui s’appelle Monsieur Caroupaye. Il est qui celui-là ? Il a manipulé les autres. Tout le monde le suit ! On n'est pas d’accord."
Hubert Ponapin déplore le partage du marché de remblaiement sur son volet du MT6-5, côté nord de la NRL. Ce lundi matin, il a disposé ses camions pour empêcher les camions des autres groupements de transporteurs d'accéder au chantier. Il retrace un épisode fâcheux qui s'est déroulé récemment.
"Il a manipulé les autres. Tout le monde le suit !"
"Arrivé au partage, monsieur Caroupaye a décidé comment faire le partage. C’est lui décide, qui donne une liste et comment on partage. Je vais vous dire comment il a partagé : 45% pour lui, 10% pour son fils. ça fait 55%. Il reste 45% et on doit le partager à quatre. Nous on a eu que 10 donc aujourd’hui on se retrouve sans rien. On n‘est pas d’accord. Même les 10% aujourd’hui nous ont été enlevés. Ce n’est pas normal", affirme le président du SRTT alors que le président de la FNTR Jean-Gaël Rivière, autrement dit le syndicat historique de Jean-Bernard Caroupaye, faisait de son côté valoir le fait qu'Hubert Ponapin profiterait de ses parts dans deux groupements.
▶️ Jean-Gaël Rivière de la FNTR ne comprend pas le coup de colère d'Hubert Ponapin
Hubert Ponapin précise que malgré les alertes données très tôt ce matin comme quoi il allait empêcher l'entrée du chantier MT6-5, la FNTR aurait quand même envoyé ses camions. Il en tire donc la conclusion que le syndicat l'a fait exprès pour provoquer des embouteillages et l'imputer à l'action du SRTT. Hubert Ponapin a lui aussi fait déplacer un huissier pour certifier qu'il ne gênait en rien les autres parties du chantier de la NRL.
La seule issue envisagée à ce stade, et comme à chaque fois, "il faut qu’on les retrouve autour d’une table", espère Hubert Ponapin tout remonté contre Jean-Bernard Caroupaye. "On a répondu comme tout le monde (à l'appel d'offres), comment nous exclure ? …C’est pas possible ! Un groupement comme la GTOI cède sous la pression d’un monsieur qui s’appelle Monsieur Caroupaye. Il est qui celui-là ? Il a manipulé les autres. Tout le monde le suit ! On n'est pas d’accord."