Originaire du Tampon, Giovanni Payet a grandi dans le quartier de Bras-Creux. Après deux années passées au campus du Tampon, il s'envole pour l'Hexagone où il obtiendra un master en gestion et valorisation des patrimoines à Saint-Etienne, avant de débuter son aventure professionnelle dans les domaines du tourisme, de la communication et de la valorisation du patrimoine. De retour dans l'île en 2015, il poursuivra son aventure professionnelle au sein de la Réserve naturelle nationale de l'Etang Saint-Paul dont il devient le directeur-adjoint. Installé à Saint-Denis, il participera à la vie associative en particulier au sein des LICOORNES (entreprises coopératives de l'économie sociale et solidaire).
Ce qui l'a poussé à se lancer
"Mes différents engagements associatifs dans différents collectifs m'ont montré qu'il pouvait y avoir certaines limites. Nous avons cinq grands défis sur lesquels on doit se mobiliser : vivre dignement, réduire les injustices, mieux respecter la nature réunionnaise, la défense de l'intérêt général, sans oublier les valeurs de la République", lance Giovanni Payet.
Des défis indispensables à relever pour ce dernier afin d'offrir un nouveau modèle de société se basant non pas sur la quête perpétuelle d'un meilleur pouvoir d'achat mais "d'une vie plus digne". "Je ne dis pas que le pouvoir d'achat est mauvais. Mais ce que demandent aujourd'hui les citoyens lorsqu'ils s'interrogent, c'est qu'ils veulent vivre dignement. Ils veulent vivre en tant que citoyens avec des pouvoirs et une capacité d'agir plus importante", insiste-t-il.
Ce qui l'a poussé à se lancer
"Mes différents engagements associatifs dans différents collectifs m'ont montré qu'il pouvait y avoir certaines limites. Nous avons cinq grands défis sur lesquels on doit se mobiliser : vivre dignement, réduire les injustices, mieux respecter la nature réunionnaise, la défense de l'intérêt général, sans oublier les valeurs de la République", lance Giovanni Payet.
Des défis indispensables à relever pour ce dernier afin d'offrir un nouveau modèle de société se basant non pas sur la quête perpétuelle d'un meilleur pouvoir d'achat mais "d'une vie plus digne". "Je ne dis pas que le pouvoir d'achat est mauvais. Mais ce que demandent aujourd'hui les citoyens lorsqu'ils s'interrogent, c'est qu'ils veulent vivre dignement. Ils veulent vivre en tant que citoyens avec des pouvoirs et une capacité d'agir plus importante", insiste-t-il.