Lors de la présentation de l’accord France Relance, Jacques Billant, Didier Robert et Cyrille Melchior ont présenté les crédits dont La Réunion dispose pour soutenir l’économie et prévenir toute crise sociale. Afin de rendre ces crédits plus efficaces, la préfecture, la Région et le Département.
S’unir pour mieux agir
Jacques Billant : "Nous avons choisi de ne pas agir les uns à côté des autres, mais nous avons choisi de faire ensemble. À côté de ces 245 millions (de l’État), le Département et la Région ont fait le choix d’avoir une concentration des crédits État-Région-Département qui nous permet de mobiliser un milliard d’euros au service du territoire. C’est ça qui est important dans le cadre de cet accord de relance, c’est de concentrer nos moyens financiers, moyens opérationnels, pour soutenir au maximum de projets structurants sur les années 2021-2022. Il faut faire vite, il faut faire bien."
Didier Robert : "Le premier élément de cet accord, c’est que nous posons une vraie coordination et donc une vraie cohérence d’action entre l’État, la Région et le Département. Nous mobilisons plus d’un milliard d’euros et pour la Région Réunion ce sont 460 millions d’euros qui vont être mobilisés sur les 2-3 années qui viennent pour être certains que nous puissions accompagner, soutenir, être aux côtés des acteurs et des entreprises, qui aujourd’hui subissent de plein fouet cette crise sanitaire."
Soutien de l’économie
Jacques Billant : "C’est bien l’objectif du plan de relance. Après le soutien qui a été apporté, et il a été fort, aux entreprises, de leur permettre de rebondir et de se repositionner grâce aux projets d’investissements, grâce à de la création d’emploi."
Didier Robert : "Je ne veux pas que cette crise sanitaire se rajoute à une crise économique de grande ampleur. Il y a un enjeu important autour de l’emploi, un enjeu important autour de l’activité. Une part significative, plus d’un tiers du programme de la Région, sera fléché en direction des entreprises, notamment les PME et TPE et dans des secteurs d’activités comme le tourisme, les énergies renouvelables, les artisans, le petit commerce."
Cyrille Melchior : "Les opérations sont identifiées. Par exemple pour les travaux, les marchés sont là, les entreprises sont prêtes à s’investir dans ces travaux."
Aménagement du territoire
Didier Robert : "Faire en sorte que les projets portés par la collectivité régionale puissent très rapidement aboutir. Par exemple la rénovation thermique des bâtiments, des lycées, mais cela concerne aussi des centres de formation professionnelle, le réseau routier, notamment le volet transport en commun, tout ce qui fait le quotidien de la collectivité régionale."
Cyrille Melchior : "Il y a le soutien aux investissements puisque notre territoire doit être aménagé. Nous avons identifié un certain nombre de grands projets qui peuvent tout de suite démarrer. Par exemple, pour les personnes porteuses de handicaps des travaux d’accessibilité dans les bâtiments du Département, comme le renforcement de la sécurité sur les routes départementales. Résorption de radiers, amélioration et mise en oeuvre de trottoirs. Donc, ce sont des actions concrètes d’investissements qui permettent de répondre à l’urgence sociale tout en accompagnant le monde des entreprises."
Action sociale et solidarité
Didier Robert : "Le deuxième grand volet est une démarche de solidarité avec l’ensemble des autres collectivités, en particulier avec les communes, et avec les communes, être dans une démarche qui consiste à mobiliser des crédits sur des opérations qui sont prêtes à démarrer."
Cyrille Melchior : "Dans le domaine de l’action sociale, des partenariats très forts existent entre les services de l’État d’action sociale, par exemple la CAF et nous-même, pour que les travailleurs sociaux sur le territoire accompagnent les familles les plus en difficultés."
Calendrier de mise en place
Jacques Billant : "La relance, ça correspond à un choc et ce choc doit être concentré sur une période restreinte. Et une période restreinte c’est 2021-2022."
Cyrille Melchior : "Nous sommes dans l’urgence. Ce n’est pas un plan à court ou moyen terme, c’est un plan qui a démarré d’ores et déjà."
S’unir pour mieux agir
Jacques Billant : "Nous avons choisi de ne pas agir les uns à côté des autres, mais nous avons choisi de faire ensemble. À côté de ces 245 millions (de l’État), le Département et la Région ont fait le choix d’avoir une concentration des crédits État-Région-Département qui nous permet de mobiliser un milliard d’euros au service du territoire. C’est ça qui est important dans le cadre de cet accord de relance, c’est de concentrer nos moyens financiers, moyens opérationnels, pour soutenir au maximum de projets structurants sur les années 2021-2022. Il faut faire vite, il faut faire bien."
Didier Robert : "Le premier élément de cet accord, c’est que nous posons une vraie coordination et donc une vraie cohérence d’action entre l’État, la Région et le Département. Nous mobilisons plus d’un milliard d’euros et pour la Région Réunion ce sont 460 millions d’euros qui vont être mobilisés sur les 2-3 années qui viennent pour être certains que nous puissions accompagner, soutenir, être aux côtés des acteurs et des entreprises, qui aujourd’hui subissent de plein fouet cette crise sanitaire."
Soutien de l’économie
Jacques Billant : "C’est bien l’objectif du plan de relance. Après le soutien qui a été apporté, et il a été fort, aux entreprises, de leur permettre de rebondir et de se repositionner grâce aux projets d’investissements, grâce à de la création d’emploi."
Didier Robert : "Je ne veux pas que cette crise sanitaire se rajoute à une crise économique de grande ampleur. Il y a un enjeu important autour de l’emploi, un enjeu important autour de l’activité. Une part significative, plus d’un tiers du programme de la Région, sera fléché en direction des entreprises, notamment les PME et TPE et dans des secteurs d’activités comme le tourisme, les énergies renouvelables, les artisans, le petit commerce."
Cyrille Melchior : "Les opérations sont identifiées. Par exemple pour les travaux, les marchés sont là, les entreprises sont prêtes à s’investir dans ces travaux."
Aménagement du territoire
Didier Robert : "Faire en sorte que les projets portés par la collectivité régionale puissent très rapidement aboutir. Par exemple la rénovation thermique des bâtiments, des lycées, mais cela concerne aussi des centres de formation professionnelle, le réseau routier, notamment le volet transport en commun, tout ce qui fait le quotidien de la collectivité régionale."
Cyrille Melchior : "Il y a le soutien aux investissements puisque notre territoire doit être aménagé. Nous avons identifié un certain nombre de grands projets qui peuvent tout de suite démarrer. Par exemple, pour les personnes porteuses de handicaps des travaux d’accessibilité dans les bâtiments du Département, comme le renforcement de la sécurité sur les routes départementales. Résorption de radiers, amélioration et mise en oeuvre de trottoirs. Donc, ce sont des actions concrètes d’investissements qui permettent de répondre à l’urgence sociale tout en accompagnant le monde des entreprises."
Action sociale et solidarité
Didier Robert : "Le deuxième grand volet est une démarche de solidarité avec l’ensemble des autres collectivités, en particulier avec les communes, et avec les communes, être dans une démarche qui consiste à mobiliser des crédits sur des opérations qui sont prêtes à démarrer."
Cyrille Melchior : "Dans le domaine de l’action sociale, des partenariats très forts existent entre les services de l’État d’action sociale, par exemple la CAF et nous-même, pour que les travailleurs sociaux sur le territoire accompagnent les familles les plus en difficultés."
Calendrier de mise en place
Jacques Billant : "La relance, ça correspond à un choc et ce choc doit être concentré sur une période restreinte. Et une période restreinte c’est 2021-2022."
Cyrille Melchior : "Nous sommes dans l’urgence. Ce n’est pas un plan à court ou moyen terme, c’est un plan qui a démarré d’ores et déjà."