Dès 6h hier, un barrage de pneus avait été érigé pour bloquer l’accès au CHU de Guadeloupe. D'abord levé par les forces de l’ordre, le barrage a rapidement été réinstallé par des manifestants qui l’ont ensuite enflammé. Un pompier transportant des pneus a été interpellé et présenté à un juge qui l’a placé sous contrôle judiciaire.
Depuis lundi, la Guadeloupe connaît une mobilisation lancée par des syndicats et des citoyens. Ils protestent contre le pass sanitaire et l’obligation vaccinale des soignants. Des barrages ont été installés sur plusieurs axes routiers de l’île, parfois sur de petites routes.
Une situation alarmante pour la direction du CHU. Entre les barrages, les suspensions, les arrêts maladie et les manifestations, l’hôpital public a du mal à assurer la continuité des soins. Le directeur général, Cédric Zolezzi, affirme que les soins de chimiothérapie n’ont pas pu se faire hier.
Aujourd’hui, un homme doit passer en comparution immédiate pour jets de projectiles et attroupements. Un policier a été blessé dans la journée d’hier. La préfecture prévient que "les auteurs des violences continueront à être interpellés et poursuivis."
Un avertissement qui ne semble pas avoir été entendu puisque des violences ont encore éclaté cette nuit, comme le montrent les vidéos qui suivent.
Ce vendredi, Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, et Sébastien Lecornu, ministre des Outre-mer, condamnent avec la plus grande fermeté les violences qui se sont déroulées ces dernières heures. Les ministres apportent leur soutien aux forces de l’ordre et services de l’Etat mobilisés.
Les deux ministres ont décidé de déployer 200 policiers et gendarmes supplémentaires dans les prochains jours afin de rétablir l’ordre républicain.
Depuis lundi, la Guadeloupe connaît une mobilisation lancée par des syndicats et des citoyens. Ils protestent contre le pass sanitaire et l’obligation vaccinale des soignants. Des barrages ont été installés sur plusieurs axes routiers de l’île, parfois sur de petites routes.
Une situation alarmante pour la direction du CHU. Entre les barrages, les suspensions, les arrêts maladie et les manifestations, l’hôpital public a du mal à assurer la continuité des soins. Le directeur général, Cédric Zolezzi, affirme que les soins de chimiothérapie n’ont pas pu se faire hier.
Aujourd’hui, un homme doit passer en comparution immédiate pour jets de projectiles et attroupements. Un policier a été blessé dans la journée d’hier. La préfecture prévient que "les auteurs des violences continueront à être interpellés et poursuivis."
Un avertissement qui ne semble pas avoir été entendu puisque des violences ont encore éclaté cette nuit, comme le montrent les vidéos qui suivent.
Ce vendredi, Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, et Sébastien Lecornu, ministre des Outre-mer, condamnent avec la plus grande fermeté les violences qui se sont déroulées ces dernières heures. Les ministres apportent leur soutien aux forces de l’ordre et services de l’Etat mobilisés.
Les deux ministres ont décidé de déployer 200 policiers et gendarmes supplémentaires dans les prochains jours afin de rétablir l’ordre républicain.