Cela fait plusieurs années que les transporteurs travaillent "en-dessous" de leur coût de revient, assure Michel Allamèle. Comme il y a quelques semaines où des groupements de transporteurs ont été contraints d'accepter de travailler à un prix inférieur d'il y a 9 ans pour le chantier de la Nouvelle route du littoral (NRL).
En cause : la volonté des "donneurs d'ordre" (État, services préfectoraux comme la DEAL, Région, etc...) de ne pas répercuter sur la population le coût de l'inflation mais aussi le coût de l'indexation du prix du carburant, explique Michel Allamèle. "Rien qu'avec ça, cela représente à peu près 27,3% en cumulé ce qui est énorme", tient à rappeler le porte-parole de l'IRR. Selon ses chiffres, ce sont plus de 50% des entreprises de transport qui n'ont plus de capacité financière.
Lors d'une rencontre prévue avec Elisabeth Borne, ce dernier présentera à la cheffe du gouvernement un nouveau mode de calcul prenant en compte l'actualisation du coût de base du transport en rajoutant le coût de l'inflation et l'indexation du prix du carburant.
En cause : la volonté des "donneurs d'ordre" (État, services préfectoraux comme la DEAL, Région, etc...) de ne pas répercuter sur la population le coût de l'inflation mais aussi le coût de l'indexation du prix du carburant, explique Michel Allamèle. "Rien qu'avec ça, cela représente à peu près 27,3% en cumulé ce qui est énorme", tient à rappeler le porte-parole de l'IRR. Selon ses chiffres, ce sont plus de 50% des entreprises de transport qui n'ont plus de capacité financière.
Lors d'une rencontre prévue avec Elisabeth Borne, ce dernier présentera à la cheffe du gouvernement un nouveau mode de calcul prenant en compte l'actualisation du coût de base du transport en rajoutant le coût de l'inflation et l'indexation du prix du carburant.