Ce mardi 28 juillet, soit une semaine après le début du mouvement des transporteurs, la région Réunion assigne les transporteurs devant le tribunal judiciaire de Saint-Denis afin que l'accès à la collectivité soit de nouveau possible. Interrogés à ce sujet, Didier Hoareau, président du syndicat OTI ainsi que Jean-Gaël Rivière, président du syndicat FNTR répondent d'une même voix sur la suite du mouvement :
"Beaucoup de fausses informations sont relayées concernant des blocages. Il n'y a aucun blocage de prévu, ça n'a jamais discuté sur ce sujet. Demain 9h, nous sommes assignés au tribunal, chacun va débattre et le juge tranchera, nous attendons demain. Si le juge donne raison à la Région et que l'on nous demande de partir, on partira, mais on partira ailleurs ! On ne stoppera pas notre grève, cela va juste déplacer le problème. Il faut que les gens comprennent que nous sommes déterminés", indique Didier Hoareau, président du syndicat OTI.
"Nous attendons avec impatience d'être reçus par le président de Région comme nous l'avions demandé et la réunion entre la Région et le groupement mercredi ou jeudi. Pour nous l'assignation ne change rien, nous restons déterminés. Nous estimons que notre combat est légitime et juste. S'ils nous y obligent, nous n'aurons pas le choix de partir mais nous ne retournerons pas chez nous", ajoute Jean-Gaël Rivière, président du syndicat FNTR.
"Beaucoup de fausses informations sont relayées concernant des blocages. Il n'y a aucun blocage de prévu, ça n'a jamais discuté sur ce sujet. Demain 9h, nous sommes assignés au tribunal, chacun va débattre et le juge tranchera, nous attendons demain. Si le juge donne raison à la Région et que l'on nous demande de partir, on partira, mais on partira ailleurs ! On ne stoppera pas notre grève, cela va juste déplacer le problème. Il faut que les gens comprennent que nous sommes déterminés", indique Didier Hoareau, président du syndicat OTI.
"Nous attendons avec impatience d'être reçus par le président de Région comme nous l'avions demandé et la réunion entre la Région et le groupement mercredi ou jeudi. Pour nous l'assignation ne change rien, nous restons déterminés. Nous estimons que notre combat est légitime et juste. S'ils nous y obligent, nous n'aurons pas le choix de partir mais nous ne retournerons pas chez nous", ajoute Jean-Gaël Rivière, président du syndicat FNTR.