
Les agriculteurs ont investi la RD38 toute la journée (Photo d'archives)
Les agriculteurs ont maintenu leur barrage de route à la Ligne Paradis Saint-Pierre jusqu'à 18h ce lundi. Ils repartent avec la promesse du versement des indemnités sécheresse et Dumile 2013 avant le 10 février, au pire.
Depuis 9h lundi matin, des représentants de la CGPER et de la chambre d'agriculture entourés d'agriculteurs avaient décidé de manifester devant les grilles de l'antenne sud de la DAAF (direction de l'agriculture). Un attroupement qui s'est peu à peu déporté vers la route départementale 38 toute proche.
Les agriculteurs réclament toujours le versement des indemnités de calamité sécheresse et du cyclone Dumile, toujours pas obtenues pour 90 d'entre eux.
En fin de journée, la promesse tant attendue est arrivée même si les agriculteurs attendent de voir. Si le planning exposé hier soir par la direction de la DAAF est respecté, tous les versements devraient être attribués à la date limite du 10 février, après une nouvelle réunion d'un comité interministériel qui interviendra la semaine prochaine.
Les agriculteurs ont déjà prévenu qu'ils n'hésiteraient pas à répliquer le mode opératoire choisi ce lundi si ce délai venait à ne pas être respecté.
Depuis 9h lundi matin, des représentants de la CGPER et de la chambre d'agriculture entourés d'agriculteurs avaient décidé de manifester devant les grilles de l'antenne sud de la DAAF (direction de l'agriculture). Un attroupement qui s'est peu à peu déporté vers la route départementale 38 toute proche.
Les agriculteurs réclament toujours le versement des indemnités de calamité sécheresse et du cyclone Dumile, toujours pas obtenues pour 90 d'entre eux.
En fin de journée, la promesse tant attendue est arrivée même si les agriculteurs attendent de voir. Si le planning exposé hier soir par la direction de la DAAF est respecté, tous les versements devraient être attribués à la date limite du 10 février, après une nouvelle réunion d'un comité interministériel qui interviendra la semaine prochaine.
Les agriculteurs ont déjà prévenu qu'ils n'hésiteraient pas à répliquer le mode opératoire choisi ce lundi si ce délai venait à ne pas être respecté.