
C’est au terme de dix heures de négociations que les différentes parties sont parvenues à se mettre d’accord sur les grandes lignes du financement de la hausse demandée.
Alors que le mardi 24 février dernier, l’Etat rejetait la proposition de l’UCEG (patronat) et du LKP de financer la moitié de ces 200 € par la suspension de la Contribution sociale généralisée (CSG) et le Remboursement de la dette sociale (RDS) pendant trois ans, ce jeudi, il a préféré s’appuyer sur l’argent du RSA.
C’est donc par le biais du Revenu de solidarité active adaptée, qui serait de 80 à 100 €, que l’Etat apportera sa part à l’augmentation de salaire net. C’est l’UCEG pour 50 €, et les collectivités locales également pour 50 € mais sur un an, qui apportent la première moitié de la hausse.
Si cet accord de principe fait l’unanimité, les négociations ont été interrompues sans la rédaction d’un protocole d’accord paraphé par les différentes parties. C’est l’une des raisons pour lesquelles le LKP maintient son mot d’ordre de grève et de mobilisation générale.
Les autres motifs, ce sont les 19 des 130 revendications qui n’ont pas encore été abordées. La pérennité de ce dispositif d’augmentation de salaire, et le paiement des jours de grève y figurent en bonne place.
C’est dire que si cet accord sur ces 200 € de hausse, est une avancée essentielle vers une sortie de crise, tout n’est pas pour autant joué en Guadeloupe. Les négociations reprendront à 22h30 heure de La Réunion.
Alors que le mardi 24 février dernier, l’Etat rejetait la proposition de l’UCEG (patronat) et du LKP de financer la moitié de ces 200 € par la suspension de la Contribution sociale généralisée (CSG) et le Remboursement de la dette sociale (RDS) pendant trois ans, ce jeudi, il a préféré s’appuyer sur l’argent du RSA.
C’est donc par le biais du Revenu de solidarité active adaptée, qui serait de 80 à 100 €, que l’Etat apportera sa part à l’augmentation de salaire net. C’est l’UCEG pour 50 €, et les collectivités locales également pour 50 € mais sur un an, qui apportent la première moitié de la hausse.
Si cet accord de principe fait l’unanimité, les négociations ont été interrompues sans la rédaction d’un protocole d’accord paraphé par les différentes parties. C’est l’une des raisons pour lesquelles le LKP maintient son mot d’ordre de grève et de mobilisation générale.
Les autres motifs, ce sont les 19 des 130 revendications qui n’ont pas encore été abordées. La pérennité de ce dispositif d’augmentation de salaire, et le paiement des jours de grève y figurent en bonne place.
C’est dire que si cet accord sur ces 200 € de hausse, est une avancée essentielle vers une sortie de crise, tout n’est pas pour autant joué en Guadeloupe. Les négociations reprendront à 22h30 heure de La Réunion.