Les causes sont chaque fois différentes, mais force est de constater que la décapitation s’invite trop souvent dans l’actualité depuis un an. Ce mercredi, un homme a été retrouvé décapité et éviscéré chez son petit-fils.
Ce sont deux infirmières qui devaient assurer le suivi médical du petit-fils qui ont découvert la scène de crime. C'est à ce moment là que ce dernier, principal suspect, a pris la fuite. Il été interpellé ce matin.
Les forces de l’ordre ont écarté toutes thèses terroristes pour se concentrer sur un drame familial sur fond de troubles psychiatriques chez l’auteur supposé des faits. Il souffrirait de schizophrénie.
La gendarmerie du Vaucluse avait publié la photo de l’homme dans un appel à témoin sur Facebook. Les militaires précisaient que l’homme est "potentiellement armé et dangereux". Il était demandé à la population de se confiner.
Une centaine de gendarmes ont été déployés pour le retrouver. L’enquête a été confiée à la brigade de gendarmerie d’Orange. Les équipes de recherche étaient notamment appuyées par l'antenne GIGN d'Orange, un hélicoptère et une équipe cynophile.
Ce sont deux infirmières qui devaient assurer le suivi médical du petit-fils qui ont découvert la scène de crime. C'est à ce moment là que ce dernier, principal suspect, a pris la fuite. Il été interpellé ce matin.
Les forces de l’ordre ont écarté toutes thèses terroristes pour se concentrer sur un drame familial sur fond de troubles psychiatriques chez l’auteur supposé des faits. Il souffrirait de schizophrénie.
La gendarmerie du Vaucluse avait publié la photo de l’homme dans un appel à témoin sur Facebook. Les militaires précisaient que l’homme est "potentiellement armé et dangereux". Il était demandé à la population de se confiner.
Une centaine de gendarmes ont été déployés pour le retrouver. L’enquête a été confiée à la brigade de gendarmerie d’Orange. Les équipes de recherche étaient notamment appuyées par l'antenne GIGN d'Orange, un hélicoptère et une équipe cynophile.