Chaque année, 10 tonnes de vanille noire sont importées à la Réunion contre 4 tonnes produites localement. Face à ce constat, l'A2VR (association pour la valorisation de la Vanille à La Réunion) tente de défendre ce "produit exceptionnel" et faire reconnaître sa qualité.
Alors que c'est à La Réunion que le procédé de fécondation artificielle de la vanille a été découvert et que les procédés de transformation ont été mis au point, la filière a engagé depuis quelques années une démarche de protection juridique Européenne de la dénomination "Vanille Bourbon de l’île de la Réunion", en partenariat avec l'IQUAE (Institut de la Qualité de l’Agroécologie),
L'association A2VR a en effet déposé un dossier de demande de reconnaissance d’Indication Géographique Protégée auprès de l’Institut national de l’origine et de la qualité (INAO).
Dans le cadre de l’instruction de ce dossier, la Commission d’Enquête de l’INAO est actuellement sur notre île, pour des visites et des échanges avec la filière, dont l'une s'est déroulée ce lundi matin, à Saint-Philippe.
Alors que c'est à La Réunion que le procédé de fécondation artificielle de la vanille a été découvert et que les procédés de transformation ont été mis au point, la filière a engagé depuis quelques années une démarche de protection juridique Européenne de la dénomination "Vanille Bourbon de l’île de la Réunion", en partenariat avec l'IQUAE (Institut de la Qualité de l’Agroécologie),
L'association A2VR a en effet déposé un dossier de demande de reconnaissance d’Indication Géographique Protégée auprès de l’Institut national de l’origine et de la qualité (INAO).
Dans le cadre de l’instruction de ce dossier, la Commission d’Enquête de l’INAO est actuellement sur notre île, pour des visites et des échanges avec la filière, dont l'une s'est déroulée ce lundi matin, à Saint-Philippe.