Trois ex-cadres de la mairie de La Possession avaient déjà été entendus par les gendarmes de Saint-Paul. Hier, tout au long de la journée, c'était au tour du maire Vanessa Miranville de livrer ses explications.
Didier Pinchon, ex-directeur du CCAS, Nathalie Robert, ex-directrice de cabinet de Roland Robert et épouse de Philippe Robert, et Pascaline Maladira, soeur de Nathalie Robert, ont porté connaissance à la justice des faits supposés de harcèlement moral.
Selon leurs déclarations, ils auraient été placardisés dès le changement de majorité en 2014. L'ex-directeur du CCAS indique par exemple avoir été l'objet de propos vexatoires de la part de la nouvelle majorité et d'avoir été brutalement rétrogradé. Des reproches qu'il fait porter également à la vice-présidente du CCAS.
Les deux autres plaignantes ont produit des certificats médicaux faisant état de leur état de santé dégradé à la suite de cette situation.
Contactée par le Journal de l'Ile, le maire de La Possession rejette ces accusations de harcèlement moral mais concède "une période de flottement" lors de la réorganisation des services consécutive au changement de majorité. Une réorganisation mal acceptée selon elle par certaines personnes qui y ont mis de "la mauvaise volonté".
Didier Pinchon, ex-directeur du CCAS, Nathalie Robert, ex-directrice de cabinet de Roland Robert et épouse de Philippe Robert, et Pascaline Maladira, soeur de Nathalie Robert, ont porté connaissance à la justice des faits supposés de harcèlement moral.
Selon leurs déclarations, ils auraient été placardisés dès le changement de majorité en 2014. L'ex-directeur du CCAS indique par exemple avoir été l'objet de propos vexatoires de la part de la nouvelle majorité et d'avoir été brutalement rétrogradé. Des reproches qu'il fait porter également à la vice-présidente du CCAS.
Les deux autres plaignantes ont produit des certificats médicaux faisant état de leur état de santé dégradé à la suite de cette situation.
Contactée par le Journal de l'Ile, le maire de La Possession rejette ces accusations de harcèlement moral mais concède "une période de flottement" lors de la réorganisation des services consécutive au changement de majorité. Une réorganisation mal acceptée selon elle par certaines personnes qui y ont mis de "la mauvaise volonté".