La communauté éducative et les élèves du lycée Georges Brassens à Saint-Denis sont inquiets du futur tracé du téléphérique urbain reliant Bois de Nèfles au Chaudron. Ce dernier, porté par la Cinor, passera juste au-dessus de l'établissement scolaire.
Pour rappel, le tracé définitif de ce premier téléphérique dionysien a été adopté par l'intercommunalité, après une concertation publique. Cette ligne Chaudron/Moufia/Bois-de-Nèfles d'environ 2,7 km s'appuiera sur cinq stations et fera circuler en continu 46 cabines de 10 places assises, de 6 à 20h en semaine. Le trajet complet est estimé à 13 minutes et plus de 6000 voyageurs attendus chaque jour. Le premier coup de pioche est attendu fin 2018 et la mise en service de la ligne est programmée un an plus tard, fin 2019.
Deux tracés avaient été simulés par la Cinor : le premier contournant le lycée en passant juste au-dessus de la coulée verte à proximité, et la seconde, retenue par la collectivité, passant juste au-dessus du lycée Georges Brassens. Un choix pas au goût de la communauté éducative, qui demande à la Cinor de revoir sa copie en privilégiant le premier tracé.
Une réunion dans les prochains jours
Représentant du personnel (Snalc), Jean-Louis Pradel avait déclaré la semaine dernière sur notre site que le lycée "a appris directement par la société en charge de réaliser le projet que le téléphérique passerait au-dessus de la cour". "Le proviseur n'a été averti qu'au dernier moment et la Région n'était pas au courant non plus", a-t-il ajouté. De son côté, la Cinor avait assuré que "les établissements concernés ont été conviés aux consultations".
Interpellée ce mardi par les enseignants et les lycéens de Brassens, la Région a dépêché trois de ses élus sur place. Le vice-président de la Pyramide inversée, Vincent Payet, leur a annoncé la tenue d'une réunion "dans les prochains jours", entre la Cinor, la Région, la mairie de Saint-Denis et une délégation du lycée pour tenter de trouver une solution.
Outre les inquiétudes concernant le téléphérique, la communauté éducative en a profité pour demander à la collectivité régionale son soutien pour obtenir de nouvelles formations, notamment en BTS, mais aussi d'agir rapidement sur la carte scolaire afin d'offrir au lycée "un panel attractif". Le lycée a en effet perdu entre 100 et 200 élèves par rapport à l'an dernier.
Pour rappel, le tracé définitif de ce premier téléphérique dionysien a été adopté par l'intercommunalité, après une concertation publique. Cette ligne Chaudron/Moufia/Bois-de-Nèfles d'environ 2,7 km s'appuiera sur cinq stations et fera circuler en continu 46 cabines de 10 places assises, de 6 à 20h en semaine. Le trajet complet est estimé à 13 minutes et plus de 6000 voyageurs attendus chaque jour. Le premier coup de pioche est attendu fin 2018 et la mise en service de la ligne est programmée un an plus tard, fin 2019.
Deux tracés avaient été simulés par la Cinor : le premier contournant le lycée en passant juste au-dessus de la coulée verte à proximité, et la seconde, retenue par la collectivité, passant juste au-dessus du lycée Georges Brassens. Un choix pas au goût de la communauté éducative, qui demande à la Cinor de revoir sa copie en privilégiant le premier tracé.
Une réunion dans les prochains jours
Représentant du personnel (Snalc), Jean-Louis Pradel avait déclaré la semaine dernière sur notre site que le lycée "a appris directement par la société en charge de réaliser le projet que le téléphérique passerait au-dessus de la cour". "Le proviseur n'a été averti qu'au dernier moment et la Région n'était pas au courant non plus", a-t-il ajouté. De son côté, la Cinor avait assuré que "les établissements concernés ont été conviés aux consultations".
Interpellée ce mardi par les enseignants et les lycéens de Brassens, la Région a dépêché trois de ses élus sur place. Le vice-président de la Pyramide inversée, Vincent Payet, leur a annoncé la tenue d'une réunion "dans les prochains jours", entre la Cinor, la Région, la mairie de Saint-Denis et une délégation du lycée pour tenter de trouver une solution.
Outre les inquiétudes concernant le téléphérique, la communauté éducative en a profité pour demander à la collectivité régionale son soutien pour obtenir de nouvelles formations, notamment en BTS, mais aussi d'agir rapidement sur la carte scolaire afin d'offrir au lycée "un panel attractif". Le lycée a en effet perdu entre 100 et 200 élèves par rapport à l'an dernier.