La Région Réunion a lancé ce jeudi, sous le parrainage de la Commission européenne, la première task force "transition énergétique". Une première pour une région ultrapériphérique, dont l’objectif vise à apporter des solutions sur-mesures aux problématiques rencontrées par les RUP. À La Réunion, la Région a souhaité axer ce séminaire autour de la transition énergétique. Objectif : trouver des pistes pour atteindre à l’horizon 2030 l’autonomie énergétique.
La tenue de ce séminaire s’est faite en présence de Sandra Bourdy, cheffe de l’Unité RUP à la Commission européenne, et du préfet de La Réunion, Amaury de Saint-Quentin. Ce dernier, qui a salué l’initiative du conseil régional pour la tenue de cette task force, a rappelé que La Réunion, "au vu de son potentiel en énergies renouvelables", pouvait devenir "un exemple" en matière de transition énergétique. "Nous ne devons pas rater ce virage. Dans ce domaine, il est nécessaire d’agir rapidement. 2030 est une échéance importante pour La Réunion, qui vise passé cette date l’autonomie énergétique", a clamé le préfet.
Une transition énergétique qu’il est nécessaire d’accompagner au niveau régional mais aussi au national, "où il y a bien entendu toute la réglementation qui en découle", sans oublier au niveau européen, "grâce à un nouveau paquet législatif" explique Sandra Bourdy. Un nouveau paquet législatif, lancé par Bruxelles, qui comporte une initiative "île propre" pour les îles de l’Union européenne. "Cette initiative n’est pas encore tout à fait lancée au niveau opérationnel, donc c’est un peu une première en effet, j’ai avec moi les collègues de la DG Energy et de la Banque européenne d’investissement, qui sont là pour cela", explique l'émissaire européenne.
"Nous sommes dans un moment très fort de concrétisation des actions qui ont été soulevées" lors de la 22e conférence des présidents des RUP, qui s’est tenue en Guyane en octobre 2017 (Sommet des RUP : "La nouvelle approche de la Commission européenne est un tournant majeur"), se félicite le président de Région, Didier Robert.
Le patron de la collectivité régionale veut profiter de la tenue de ce séminaire pour poser des "actes forts", aussi bien sur la question de la biodiversité, que celle des énergies nouvelles ou encore le traitement des déchets : "ce sont ces questions qui seront au coeur du débat dans les prochaines années, avec le transport bien évidemment, pour faire en sorte que nous soyons dans une démarche vertueuse et qui amène à ce que La Réunion soit un territoire exemplaire sur ce chemin de la transition énergétique."
La tenue de ce séminaire s’est faite en présence de Sandra Bourdy, cheffe de l’Unité RUP à la Commission européenne, et du préfet de La Réunion, Amaury de Saint-Quentin. Ce dernier, qui a salué l’initiative du conseil régional pour la tenue de cette task force, a rappelé que La Réunion, "au vu de son potentiel en énergies renouvelables", pouvait devenir "un exemple" en matière de transition énergétique. "Nous ne devons pas rater ce virage. Dans ce domaine, il est nécessaire d’agir rapidement. 2030 est une échéance importante pour La Réunion, qui vise passé cette date l’autonomie énergétique", a clamé le préfet.
Une transition énergétique qu’il est nécessaire d’accompagner au niveau régional mais aussi au national, "où il y a bien entendu toute la réglementation qui en découle", sans oublier au niveau européen, "grâce à un nouveau paquet législatif" explique Sandra Bourdy. Un nouveau paquet législatif, lancé par Bruxelles, qui comporte une initiative "île propre" pour les îles de l’Union européenne. "Cette initiative n’est pas encore tout à fait lancée au niveau opérationnel, donc c’est un peu une première en effet, j’ai avec moi les collègues de la DG Energy et de la Banque européenne d’investissement, qui sont là pour cela", explique l'émissaire européenne.
"Nous sommes dans un moment très fort de concrétisation des actions qui ont été soulevées" lors de la 22e conférence des présidents des RUP, qui s’est tenue en Guyane en octobre 2017 (Sommet des RUP : "La nouvelle approche de la Commission européenne est un tournant majeur"), se félicite le président de Région, Didier Robert.
Le patron de la collectivité régionale veut profiter de la tenue de ce séminaire pour poser des "actes forts", aussi bien sur la question de la biodiversité, que celle des énergies nouvelles ou encore le traitement des déchets : "ce sont ces questions qui seront au coeur du débat dans les prochaines années, avec le transport bien évidemment, pour faire en sorte que nous soyons dans une démarche vertueuse et qui amène à ce que La Réunion soit un territoire exemplaire sur ce chemin de la transition énergétique."