Les événements qui se sont produits cet après-midi au Chaudron trouvent leur origine dans un rodéo de motos organisé, comme souvent le week-end, sur la rue Roger Payet au Chaudron (voir ci-dessous la vidéo de la page Facebook de NNSK Prod sur le rodéo de cet après-midi au Chaudron).
Sur cette longue ligne droite comprise entre les ronds-points de la Poste et celui du Quick, c'est un incessant ballet d'engins motorisés. Il y a ceux qui se contentent de passer et repasser et ceux qui n'hésitent pas à faire de la roue arrière, parfois en doublant de pauvres automobilistes qui ont eu le malheur d'utiliser cette voie qui est pourtant l'artère principale du Chaudron.
On se demande d'ailleurs ce que la mairie attend pour installer un ou deux "gendarmes couchés" à cet endroit, histoire de calmer leurs ardeurs. Elle en installe un peu partout à travers la ville, pas toujours à bon escient d'ailleurs, et elle n'en met pas là où il le faudrait.
Pour une fois, la police est intervenue pour faire cesser le manège et sécuriser le quartier. Et c'est là que les choses ont dégénéré, les jeunes n'hésitant pas à lancer des galets sur les forces de l'ordre pour montrer leur mécontentement.
Dans la soirée, l'UNSA Police a publié un communiqué dans lequel Jean-Pierre Lauret, son secrétaire général, salue "le professionnalisme et l'abnégation" de ses collègues policiers.
Selon lui, "le scénario se répète inlassablement de semaine en semaine. Défilés de deux roues, courses de motos sur des voies ouvertes à la circulation, Le risque d'accident et de mise en danger de la vie d'autrui est évident de par ce type de comportement (...) annoncé sur les réseaux sociaux".
Selon le syndicaliste, "il est urgent de mettre en place des dispositifs et des actions fermes avec des moyens humains et matériels conséquents afin d'enrayer ces rodéos sauvages qui à terme pourraient engendrer un drame".
Par contre, pas un mot de Jean-Pierre Lauret sur le fait que les policiers se soient retirés devant les manifestants, leur laissant libre cours pour casser et piller le magasin Allo.com.
Sur cette longue ligne droite comprise entre les ronds-points de la Poste et celui du Quick, c'est un incessant ballet d'engins motorisés. Il y a ceux qui se contentent de passer et repasser et ceux qui n'hésitent pas à faire de la roue arrière, parfois en doublant de pauvres automobilistes qui ont eu le malheur d'utiliser cette voie qui est pourtant l'artère principale du Chaudron.
On se demande d'ailleurs ce que la mairie attend pour installer un ou deux "gendarmes couchés" à cet endroit, histoire de calmer leurs ardeurs. Elle en installe un peu partout à travers la ville, pas toujours à bon escient d'ailleurs, et elle n'en met pas là où il le faudrait.
Pour une fois, la police est intervenue pour faire cesser le manège et sécuriser le quartier. Et c'est là que les choses ont dégénéré, les jeunes n'hésitant pas à lancer des galets sur les forces de l'ordre pour montrer leur mécontentement.
Dans la soirée, l'UNSA Police a publié un communiqué dans lequel Jean-Pierre Lauret, son secrétaire général, salue "le professionnalisme et l'abnégation" de ses collègues policiers.
Selon lui, "le scénario se répète inlassablement de semaine en semaine. Défilés de deux roues, courses de motos sur des voies ouvertes à la circulation, Le risque d'accident et de mise en danger de la vie d'autrui est évident de par ce type de comportement (...) annoncé sur les réseaux sociaux".
Selon le syndicaliste, "il est urgent de mettre en place des dispositifs et des actions fermes avec des moyens humains et matériels conséquents afin d'enrayer ces rodéos sauvages qui à terme pourraient engendrer un drame".
Par contre, pas un mot de Jean-Pierre Lauret sur le fait que les policiers se soient retirés devant les manifestants, leur laissant libre cours pour casser et piller le magasin Allo.com.