
C'est ce jeudi 22 février, que se tiendra un conseil d'administration très important pour l'Université. Parmi les points à l'ordre du jour, le vote du budget initial de l'établissement pour l'année 2018.
Le président Frédéric Miranville semble ne plus tenir ses troupes, au point qu'il a été incapable de réunir le quorum lors du dernier conseil d'administration.
Il faut dire à sa décharge qu'il est très minoritaire au sein de sa propre majorité. Arrivé en 3ème position en 2016 aux dernières élections, avec seulement trois voix, il a été à la surprise générale été président grâce aux 13 voix que lui a apportées Gilles Lajoie, un des deux autres candidats. Et cela au grand dam de Jean-Pierre Chabriat, qui comptait à peu près le même nombre de voix que Gilles Lajoie.
C'est cet aréopage hétéroclite qui dirige l'université depuis près de deux ans maintenant. Si Frédéric Miranville a su mener sa barque, même si quelques problèmes d'ordre privé ont tenté d'être exploités par ses adversaires, il n'en est pas de même pour Gilles Lajoie qui a été lâché par une bonne partie de ses troupes.
D'où l'absence de quorum au dernier conseil d'administration.
Sur le papier, hier encore, Frédéric Miranville était donné largement minoritaire. Dans ces conditions, le budget n'allait pas être voté et la mise sous tutelle semblait inéluctable. Même un envoyé spécial du ministère n'avait pas réussi à recoller les morceaux et avait fini par jeter l'éponge.
Mais plus les heures passent et plus les choses semblent se décanter.
Les choses ont évolué depuis 2016. Jean-Pierre Chabriat ne serait plus vraiment tenté par le poste de président et une partie non négligeable de ses troupes, avec son accord, pourrait venir en renfort de Frédéric Miranville, ce qui associé à quelques autres soutiens dont dispose encore le président sortant pourrait constituer une nouvelle majorité stable. A condition que Gilles Lajoie soit sorti du jeu.
Mais pour l'heure, rien n'est encore fait. Les discussions se poursuivent et devraient durer une partie de la nuit et très probablement encore demain matin, à quelques encablures de l'ouverture du conseil d'administration.
On sent une volonté de plus en plus affirmée de nombreux élus de trouver une solution, d'autant qu'en filigrane transparait toujours la main de Mohamed Rochdi qui, bien qu'il s'en défende officiellement, est toujours à la manoeuvre de la politique de déstabilisation de Jean-Pierre Chabriat. Soit pour en tirer un profit à titre personnel, soit pour placer un homme à lui.
Et rien que l'idée de voir Mohamed Rochdi revenir de manière directe ou indirecte aux commandes pourrait être suffisant pour inciter ceux qui hésitent encore à trouver une solution...
Le président Frédéric Miranville semble ne plus tenir ses troupes, au point qu'il a été incapable de réunir le quorum lors du dernier conseil d'administration.
Il faut dire à sa décharge qu'il est très minoritaire au sein de sa propre majorité. Arrivé en 3ème position en 2016 aux dernières élections, avec seulement trois voix, il a été à la surprise générale été président grâce aux 13 voix que lui a apportées Gilles Lajoie, un des deux autres candidats. Et cela au grand dam de Jean-Pierre Chabriat, qui comptait à peu près le même nombre de voix que Gilles Lajoie.
C'est cet aréopage hétéroclite qui dirige l'université depuis près de deux ans maintenant. Si Frédéric Miranville a su mener sa barque, même si quelques problèmes d'ordre privé ont tenté d'être exploités par ses adversaires, il n'en est pas de même pour Gilles Lajoie qui a été lâché par une bonne partie de ses troupes.
D'où l'absence de quorum au dernier conseil d'administration.
Sur le papier, hier encore, Frédéric Miranville était donné largement minoritaire. Dans ces conditions, le budget n'allait pas être voté et la mise sous tutelle semblait inéluctable. Même un envoyé spécial du ministère n'avait pas réussi à recoller les morceaux et avait fini par jeter l'éponge.
Mais plus les heures passent et plus les choses semblent se décanter.
Les choses ont évolué depuis 2016. Jean-Pierre Chabriat ne serait plus vraiment tenté par le poste de président et une partie non négligeable de ses troupes, avec son accord, pourrait venir en renfort de Frédéric Miranville, ce qui associé à quelques autres soutiens dont dispose encore le président sortant pourrait constituer une nouvelle majorité stable. A condition que Gilles Lajoie soit sorti du jeu.
Mais pour l'heure, rien n'est encore fait. Les discussions se poursuivent et devraient durer une partie de la nuit et très probablement encore demain matin, à quelques encablures de l'ouverture du conseil d'administration.
On sent une volonté de plus en plus affirmée de nombreux élus de trouver une solution, d'autant qu'en filigrane transparait toujours la main de Mohamed Rochdi qui, bien qu'il s'en défende officiellement, est toujours à la manoeuvre de la politique de déstabilisation de Jean-Pierre Chabriat. Soit pour en tirer un profit à titre personnel, soit pour placer un homme à lui.
Et rien que l'idée de voir Mohamed Rochdi revenir de manière directe ou indirecte aux commandes pourrait être suffisant pour inciter ceux qui hésitent encore à trouver une solution...