Le chef du gouvernement a inauguré le Ségur de la Santé. Cette grande concertation vise à améliorer les conditions de travail, les rémunérations et la prise en charge des malades dans l’hôpital public. "On ne doit pas changer de cap, mais la crise exige que l'on change de rythme", a déclaré Édouard Philippe avant d’ajouter que "le système de santé n'a jamais failli" pendant la crise. Il conclut cet hommage aux soignants en affirmant que "les Français peuvent être fiers de leurs fonctionnaires, de leur hôpital public".
Pour confirmer la "reconnaissance aux soignants", le chef du gouvernement a annoncé que pour "les rémunérations, la revalorisation sera significative". Il estime de plus que "la question du temps de travail n'est pas tabou".
"Le maître mot sera celui du pragmatisme. Je ne préjuge pas ici du résultat des discussions qui se tiendront dans les prochains jours, mais j'ai dit qu'il fallait lever les contraintes de toute nature. Le temps de travail doit être regardé de la même façon" a indiqué le Premier ministre.
Pour confirmer la "reconnaissance aux soignants", le chef du gouvernement a annoncé que pour "les rémunérations, la revalorisation sera significative". Il estime de plus que "la question du temps de travail n'est pas tabou".
"Le maître mot sera celui du pragmatisme. Je ne préjuge pas ici du résultat des discussions qui se tiendront dans les prochains jours, mais j'ai dit qu'il fallait lever les contraintes de toute nature. Le temps de travail doit être regardé de la même façon" a indiqué le Premier ministre.