
La Fédération des entreprises du commerce et de la distribution, section Réunion, suit cette information de près, élément donné ce lundi. Sa présidente Florence Rataud, est en contact permanent avec les responsables de la représentation nationale. A la Réunion, les patrons de la grande distribution locale rencontreront bientôt le préfet, Pierre-Henry Maccioni.
Cette proposition du président de la Fédération des entreprises du commerce et de la distribution, sera sans doute à l’ordre du jour de cette réunion. D’ici là, les modalités de la promotion auront peut-être été dévoilées, car “la grande distribution souhaite d’abord que la situation lui permette de refaire son métier en Guadeloupe et en Martinique”.
Jérôme Bédier a affirmé que “les commerçants antillais ont le désir de rouvrir leurs magasins, et d’approvisionner la population”. La FCD qui se dit “prêt à accompagner le mouvement”, veut proposer “des actions particulières sur 100 produits de la vie courante, ayant un poids significatif dans le budget des ménages”.
Il est clair que cette seule proposition de la Fédération des entreprises du commerce et de la distribution, ne va pas mettre fin au mouvement social aux Antilles. Elle reste tout de même une vraie piste de travail pour les partenaires sociaux et l’Etat.
Cette proposition du président de la Fédération des entreprises du commerce et de la distribution, sera sans doute à l’ordre du jour de cette réunion. D’ici là, les modalités de la promotion auront peut-être été dévoilées, car “la grande distribution souhaite d’abord que la situation lui permette de refaire son métier en Guadeloupe et en Martinique”.
Jérôme Bédier a affirmé que “les commerçants antillais ont le désir de rouvrir leurs magasins, et d’approvisionner la population”. La FCD qui se dit “prêt à accompagner le mouvement”, veut proposer “des actions particulières sur 100 produits de la vie courante, ayant un poids significatif dans le budget des ménages”.
Il est clair que cette seule proposition de la Fédération des entreprises du commerce et de la distribution, ne va pas mettre fin au mouvement social aux Antilles. Elle reste tout de même une vraie piste de travail pour les partenaires sociaux et l’Etat.