
Sandrine Lambert, Saint-Leusienne de 39 ans, a créé en janvier de cette année une page Facebook, Peuple Bafoué 974, du nom d'un mouvement de citoyens dont elle est membre.
Elle y relaie des initiatives citoyennes, et met en lumière le gaspillage d'argent public.
Suite aux récentes affaires concernant les rémunérations des dirigeants de sociétés d'économie mixte, qui gèrent des fonds publics, elle a envoyé une lettre aux dirigeants de ces sociétés aux statuts particuliers, qui interrogent plus d'un citoyen réunionnais.
"Nous constatons un manque de transparence dans la gestion des sociétés mixtes, qui utilisent des fonds publics, normalement dans l'intérêt général", affirme Sandrine Lambert. "Dernièrement, les scandales qui ont éclaté au grand jour quant aux SPL Eden et des musées régionaux, aux salaires mirobolants de leurs dirigeants, nous amènent à réclamer, au nom de la transparence et du droit à l'information, les fiches de postes liées aux missions de chacun", dit l'administratrice de la page Peuple Bafoué 974.
"Nous nous interrogeons sur la capacité à remplir plusieurs fonctions tout en étant efficace dans chacune d'entre elles. Les salaires si élevés sont-ils justifiés par un travail effectif?", nous dit Sandrine Lambert, qui milite de longue date contre le cumul des mandats. Une interrogation que le mouvement citoyen a transmis aux dirigeants de SEM (société d'économie mixte), de SPLA (société publique locale d'aménagement) et SPL (société publique locale), dans une lettre reproduite ci-dessous.
Outre la lettre envoyée aux intéressés, Peuple Bafoué 974 a mis en ligne une pétition, pour demander la transparence quant à la gestion opaque de ces sociétés, nombreuses sur l'île. Les soupçons de conflit d'intérêt, d'emplois familiaux et de copinage sont en effet d'actualité.
La jeune femme, fleuriste à Saint-Leu, nous affirme qu'elle combattra jusqu'au bout les injustices sociales sur son île gangrénée par les inégalités, la misère et le chômage.
Elle y relaie des initiatives citoyennes, et met en lumière le gaspillage d'argent public.
Suite aux récentes affaires concernant les rémunérations des dirigeants de sociétés d'économie mixte, qui gèrent des fonds publics, elle a envoyé une lettre aux dirigeants de ces sociétés aux statuts particuliers, qui interrogent plus d'un citoyen réunionnais.
"Nous constatons un manque de transparence dans la gestion des sociétés mixtes, qui utilisent des fonds publics, normalement dans l'intérêt général", affirme Sandrine Lambert. "Dernièrement, les scandales qui ont éclaté au grand jour quant aux SPL Eden et des musées régionaux, aux salaires mirobolants de leurs dirigeants, nous amènent à réclamer, au nom de la transparence et du droit à l'information, les fiches de postes liées aux missions de chacun", dit l'administratrice de la page Peuple Bafoué 974.
"Nous nous interrogeons sur la capacité à remplir plusieurs fonctions tout en étant efficace dans chacune d'entre elles. Les salaires si élevés sont-ils justifiés par un travail effectif?", nous dit Sandrine Lambert, qui milite de longue date contre le cumul des mandats. Une interrogation que le mouvement citoyen a transmis aux dirigeants de SEM (société d'économie mixte), de SPLA (société publique locale d'aménagement) et SPL (société publique locale), dans une lettre reproduite ci-dessous.
Outre la lettre envoyée aux intéressés, Peuple Bafoué 974 a mis en ligne une pétition, pour demander la transparence quant à la gestion opaque de ces sociétés, nombreuses sur l'île. Les soupçons de conflit d'intérêt, d'emplois familiaux et de copinage sont en effet d'actualité.
La jeune femme, fleuriste à Saint-Leu, nous affirme qu'elle combattra jusqu'au bout les injustices sociales sur son île gangrénée par les inégalités, la misère et le chômage.

