Les pensions marrons ne manquent pas à Saint-André. Ces lieux où l’on promet de s’occuper des gramounes mais qui s’avèrent être des prisons où les pensionnaires sont maltraités et violentés. La dernière en date : la pension des Magnolias près du centre-ville qui comptait une vingtaine de personnes âgées. La gérante a été mise en examen le mois dernier pour abus de faiblesse, détournement d’argent, fraude à la CAF et exploitation illégale d’établissements. En effet, ces pensions n’ont l’agrément nécessaire pour exercer.
Ce vendredi, c’est une autre dame, Marie Sylvaine Dobi, 52 ans, qui sera jugée par le tribunal correctionnel de Saint-Denis pour une autre affaire datant de 2017 à 2018. Elle est soupçonnée de violence sur personnes vulnérables et l’accueil de ces personnes sans agrément.
Suite à la perte de son agrément, la prévenue avait continué à héberger quatre personnes âgées et handicapées dans des conditions indignes au sein de sa pension "Ti Case Kréol 974". Grâce à ce travail illégal, la gérante empochait pas moins de 40.000 euros par an. De l’argent plus que facile quand on ne s’occupe pas de ses pensionnaires.
Ce vendredi, c’est une autre dame, Marie Sylvaine Dobi, 52 ans, qui sera jugée par le tribunal correctionnel de Saint-Denis pour une autre affaire datant de 2017 à 2018. Elle est soupçonnée de violence sur personnes vulnérables et l’accueil de ces personnes sans agrément.
Suite à la perte de son agrément, la prévenue avait continué à héberger quatre personnes âgées et handicapées dans des conditions indignes au sein de sa pension "Ti Case Kréol 974". Grâce à ce travail illégal, la gérante empochait pas moins de 40.000 euros par an. De l’argent plus que facile quand on ne s’occupe pas de ses pensionnaires.