
Une élève métisse guadeloupéenne-réunionnaise a été victime de harcèlement scolaire dans son collège de Besançon. Selon sa mère, Alicia Payet, un groupe de filles l'a humiliée, brutalisée, insultée en lui répétant qu'elle était "une erreur de la nature". L'adolescente de 13 ans s'est vu délivrer une ITT de 2 jours, rapporte l'Est Républicain.
L'une des agresseuses a été exclue cinq jours, les autres n'ont eu qu'un blâme, selon la mère de famille, qui indique qu'une plainte a été déposée contre les élèves et que le collège sera poursuivi. D'autant plus que les agissements se seraient répétés.
"Ils attendent peut-être que ma fille mette fin a ses jours pour agir !"
"Ma fille continue de subir une pression psychologique de la part de ces filles malgré la plainte déposée et les lettres envoyées aux différente administrations, personne ne bouge nous craignons donc les représailles. Ils attendent peut être que ma fille mette fin a ses jours pour agir !", écrit-elle dans une pétition lancée en ligne pour soutenir son enfant. Elle réclame le renvoi des élèves impliquées.
Interrogé par l'Est Républicain, le rectorat a répondu : "Le plus important est l’accompagnement mené par le collège. De la victime mais aussi l’agresseur pour que ces situations ne se reproduisent plus. Renvoyer les personnes n’est pas toujours la bonne solution, car elles iront s’inscrire ailleurs et continueront d’avoir ce type de comportement."
L'une des agresseuses a été exclue cinq jours, les autres n'ont eu qu'un blâme, selon la mère de famille, qui indique qu'une plainte a été déposée contre les élèves et que le collège sera poursuivi. D'autant plus que les agissements se seraient répétés.
"Ils attendent peut-être que ma fille mette fin a ses jours pour agir !"
"Ma fille continue de subir une pression psychologique de la part de ces filles malgré la plainte déposée et les lettres envoyées aux différente administrations, personne ne bouge nous craignons donc les représailles. Ils attendent peut être que ma fille mette fin a ses jours pour agir !", écrit-elle dans une pétition lancée en ligne pour soutenir son enfant. Elle réclame le renvoi des élèves impliquées.
Interrogé par l'Est Républicain, le rectorat a répondu : "Le plus important est l’accompagnement mené par le collège. De la victime mais aussi l’agresseur pour que ces situations ne se reproduisent plus. Renvoyer les personnes n’est pas toujours la bonne solution, car elles iront s’inscrire ailleurs et continueront d’avoir ce type de comportement."