Le temple hindou Pandialé de Ravine creuse à Saint-André a été visité la nuit dernière par une ou plusieurs personnes malintentionnées.
Vers 1H du matin, les membres du bureau du temple sont appelés en urgence alors qu’un incendie ravage le lieu de culte.
Après l’intervention des pompiers, les fidèles découvrent que plusieurs divinités ont été brulées et deux divinités ont été volées.
Le temple était en travaux depuis presque trois mois afin de le configurer aux normes en matière d’accessibilité. Les travaux sur le carrelage, l’étanchéité, la peinture et la plomberie étaient en bonne voie.
Pour les membres du temple, le caractère intentionnel de cet incendie ne fait aucun doute. La porte a été forcée.
De plus, du fait des travaux en cours, les divinités avaient été déplacées le matin même dans un local dédié à la déesse Karly. Le départ du feu semble clairement criminel car aucun dispositif électrique n’aurait permis la survenue d'un court-circuit. Une mise à feu avec de l’essence semble privilégiée, selon Frédéric Carmegom, le trésorier de l’association qui gère le temple, selon un premier constat établi par la police nationale.
La police scientifique doit quant à elle arriver sur les lieux dans la journée.
Par voie de communiqué, le maire de St-André, Joé Bédier, et son conseil municipal, ont déclaré "apporter tout leur soutien à la communauté tamoule de Ravine-Creuse (...). Je déplore cette situation et j’ai tenu à rencontrer Le Président du temple et les familles présentes cette après-midi sur les lieux afin d’apporter mon soutien. J’ai pu également constater l’ampleur des dégâts dans cet édifice centenaire qui accueille chaque année, le 2 janvier, l’importante cérémonie de la marche sur le feu (...).
Il est primordial qu’une enquête soit réalisée afin de mettre en lumière cette affaire. Le temple de Ravine-Creuse fait partie du patrimoine de la Ville de Saint-André et nous devons le préserver. Nos chapelles Saint-Andréennes sont parties intégrantes de notre histoire et véhiculent des valeurs fortes d’entraide et de solidarité. La municipalité sera toujours présente à leurs côtés.
Vers 1H du matin, les membres du bureau du temple sont appelés en urgence alors qu’un incendie ravage le lieu de culte.
Après l’intervention des pompiers, les fidèles découvrent que plusieurs divinités ont été brulées et deux divinités ont été volées.
Le temple était en travaux depuis presque trois mois afin de le configurer aux normes en matière d’accessibilité. Les travaux sur le carrelage, l’étanchéité, la peinture et la plomberie étaient en bonne voie.
Pour les membres du temple, le caractère intentionnel de cet incendie ne fait aucun doute. La porte a été forcée.
De plus, du fait des travaux en cours, les divinités avaient été déplacées le matin même dans un local dédié à la déesse Karly. Le départ du feu semble clairement criminel car aucun dispositif électrique n’aurait permis la survenue d'un court-circuit. Une mise à feu avec de l’essence semble privilégiée, selon Frédéric Carmegom, le trésorier de l’association qui gère le temple, selon un premier constat établi par la police nationale.
La police scientifique doit quant à elle arriver sur les lieux dans la journée.
Par voie de communiqué, le maire de St-André, Joé Bédier, et son conseil municipal, ont déclaré "apporter tout leur soutien à la communauté tamoule de Ravine-Creuse (...). Je déplore cette situation et j’ai tenu à rencontrer Le Président du temple et les familles présentes cette après-midi sur les lieux afin d’apporter mon soutien. J’ai pu également constater l’ampleur des dégâts dans cet édifice centenaire qui accueille chaque année, le 2 janvier, l’importante cérémonie de la marche sur le feu (...).
Il est primordial qu’une enquête soit réalisée afin de mettre en lumière cette affaire. Le temple de Ravine-Creuse fait partie du patrimoine de la Ville de Saint-André et nous devons le préserver. Nos chapelles Saint-Andréennes sont parties intégrantes de notre histoire et véhiculent des valeurs fortes d’entraide et de solidarité. La municipalité sera toujours présente à leurs côtés.