
La mairie de Saint-Paul affiche son ambition en matière de politique sociale. La municipalité organisait hier un séminaire autour du thème “la politique sociale saint-pauloise”.
L’objectif est de parvenir à une synergie des outils et du travail de chacun. La collectivité souhaite vivement développer sa politique sociale, en combinant les initiatives du Centre communal d’action sociale et celles de l’ensemble des partenaires publics et privés.
Car, “notre système est malade. Nous devons travailler de concert afin de remettre à niveau, le social de notre pays qui en a bien besoin”, plaide Jean-Marc Gamarus, premier adjoint au maire de Saint-Paul.
Au cours de ce séminaire, tour à tour, les représentants de l’Union des associations familiales (Udaf), la DRASS, ATD quart Monde, le Conseil économique et social de la Réunion (Cesr) ou encore le réseau Oté et la PJJ (Protection judiciaire de la jeunesse), sont intervenus pour présenter leur structure et exposer les problématiques auxquelles ils sont confrontés dans leur domaine respectif.
Logements en nombre insuffisant, toxicomanie et addiction, manque de structures d’accueil pour personnes âgées, manque d’information et de prévention autour de la sexualité entraînant des grossesses précoces… autant de sujets évoqués.
“Il faudrait brosser un vrai diagnostic de tous les besoins tant sur le plan quantitatif que qualitatif pour pouvoir ensuite mutualiser les actions”, suggère Georges-Marie Lépinay, membre du CESR.
“Mutualiser” : le terme a souvent été utilisé. La municipalité évoque d’ailleurs “une stratégie concertée, basée sur un diagnostic partagé, déclinée dans un plan d’action” qui reste à définir.
L’objectif est de parvenir à une synergie des outils et du travail de chacun. La collectivité souhaite vivement développer sa politique sociale, en combinant les initiatives du Centre communal d’action sociale et celles de l’ensemble des partenaires publics et privés.
Car, “notre système est malade. Nous devons travailler de concert afin de remettre à niveau, le social de notre pays qui en a bien besoin”, plaide Jean-Marc Gamarus, premier adjoint au maire de Saint-Paul.
Au cours de ce séminaire, tour à tour, les représentants de l’Union des associations familiales (Udaf), la DRASS, ATD quart Monde, le Conseil économique et social de la Réunion (Cesr) ou encore le réseau Oté et la PJJ (Protection judiciaire de la jeunesse), sont intervenus pour présenter leur structure et exposer les problématiques auxquelles ils sont confrontés dans leur domaine respectif.
Logements en nombre insuffisant, toxicomanie et addiction, manque de structures d’accueil pour personnes âgées, manque d’information et de prévention autour de la sexualité entraînant des grossesses précoces… autant de sujets évoqués.
“Il faudrait brosser un vrai diagnostic de tous les besoins tant sur le plan quantitatif que qualitatif pour pouvoir ensuite mutualiser les actions”, suggère Georges-Marie Lépinay, membre du CESR.
“Mutualiser” : le terme a souvent été utilisé. La municipalité évoque d’ailleurs “une stratégie concertée, basée sur un diagnostic partagé, déclinée dans un plan d’action” qui reste à définir.