
Une quarantaine d’enfants accompagnés de leurs familles étaient présents hier après-midi à la salle Candin. "On en attendait le double mais il faut retenir que les enfants présents étaient contents", a expliqué légèrement déçu de ne pas avoir pu satisfaire toutes les familles, Guy Zitte, président de l’association "Pren un aswar".
Ce dernier milite pour aider les familles dont un proche se trouve en détention. Ce qui n’est pas chose aisée car la plupart du temps, les familles ont "un peu honte" de le dire.
C’est d’ailleurs certainement la raison pour laquelle beaucoup n’ont pas fait le déplacement. "La présence de la presse en a intimidé beaucoup. Les familles ont peur d’être reconnues, notre île est petite…", selon Guy Zitte.
Il faut également souligner le fait que le transfert des détenus de la prison Juliette Dodu vers celle de Domenjod a légèrement chamboulé l’emploi du temps des familles. Hier, c’était jour de parloir. Certains ont préféré s’y rendre pour voir leurs proches.
Les enfants présents sont repartis, heureux, avec un cadeau de Noêl. Beaucoup ont quitté les lieux en milieu d’après-midi car, venant de toute l’île, ils étaient dépendants des horaires de bus.
Ce dernier milite pour aider les familles dont un proche se trouve en détention. Ce qui n’est pas chose aisée car la plupart du temps, les familles ont "un peu honte" de le dire.
C’est d’ailleurs certainement la raison pour laquelle beaucoup n’ont pas fait le déplacement. "La présence de la presse en a intimidé beaucoup. Les familles ont peur d’être reconnues, notre île est petite…", selon Guy Zitte.
Il faut également souligner le fait que le transfert des détenus de la prison Juliette Dodu vers celle de Domenjod a légèrement chamboulé l’emploi du temps des familles. Hier, c’était jour de parloir. Certains ont préféré s’y rendre pour voir leurs proches.
Les enfants présents sont repartis, heureux, avec un cadeau de Noêl. Beaucoup ont quitté les lieux en milieu d’après-midi car, venant de toute l’île, ils étaient dépendants des horaires de bus.