Un produit céréalier, un produit laitier non sucré et un fruit, c’est ce qu’ont reçu ce matin les élèves de l’école primaire de la Chaumière pour bien commencer la journée.
Un petit déjeuner, fourni par l’école, pour s’assurer qu’aucun enfant n’aille en classe le ventre vide. Une mesure qui entre dans la stratégie nationale de lutte contre la pauvreté présentée l’année dernière par Emmanuel Macron.
La Réunion fait partie des huit académies choisies pour cette première phase d’application. Comme annoncé il y a deux semaines par Christelle Dubos, secrétaire d’Etat au ministère des solidarités et de la santé, 46 écoles volontaires sur l’île sont concernées à Saint-Denis, saint-André, Le Port et Saint-Louis.
L’objectif est de réduire les inégalités alimentaires pour le premier repas de la journée, indispensable pour une concentration et une disponibilité aux apprentissages, tout en développant des actions éducatives autour du petit-déjeuner.
