
La cellule de veille et de soutien aux entreprises s'est réunie hier en préfecture, afin de présenter un plan d'action permettant de lutter contre le développement des dettes sociales et fiscales des entreprises.
Car si le chiffre d'affaires global à la Réunion est 24,14 milliards d'euros (un chiffre en croissance de près de 10% depuis 2009), la dette représente 4,9% de ce montant, soit 1,2 milliard d'euros.
AInsi, le plan d'actions présenté hier s'adresse aux entreprises dont l'âge de la dette est inférieur à 36 mois, aux entreprises structurellement viables et à celles faisant preuve d'une certaine "orthodixie".
Un plan qui a pour but de limiter la progression de la dette, éviter le phénomène de contagion, agir sur l'entreprise et sur son environnement. Et in fine, améliorer le bilan des entreprises.
Plusieurs outils viennent en effet en soutien aux entreprises en difficulté. Parmi eux, le CODEFI, présidé par le préfet, propose des audits financés par l'Etat, les prêts pour le développement économique et social, les agréments fiscaux pour des repreneurs d'entreprises en difficulté.
Un engagement des organismes collecteurs a également été pris pour un gestion collective et séquentielle du recouvrement de la dette, avec une priorisation de règlement de la part ouvrière.
Car si le chiffre d'affaires global à la Réunion est 24,14 milliards d'euros (un chiffre en croissance de près de 10% depuis 2009), la dette représente 4,9% de ce montant, soit 1,2 milliard d'euros.
AInsi, le plan d'actions présenté hier s'adresse aux entreprises dont l'âge de la dette est inférieur à 36 mois, aux entreprises structurellement viables et à celles faisant preuve d'une certaine "orthodixie".
Un plan qui a pour but de limiter la progression de la dette, éviter le phénomène de contagion, agir sur l'entreprise et sur son environnement. Et in fine, améliorer le bilan des entreprises.
Plusieurs outils viennent en effet en soutien aux entreprises en difficulté. Parmi eux, le CODEFI, présidé par le préfet, propose des audits financés par l'Etat, les prêts pour le développement économique et social, les agréments fiscaux pour des repreneurs d'entreprises en difficulté.
Un engagement des organismes collecteurs a également été pris pour un gestion collective et séquentielle du recouvrement de la dette, avec une priorisation de règlement de la part ouvrière.