Revenir à la rubrique : Faits divers

Un père violait son fils de 9 ans, sa peine confirmée en appel

Le 16 mars dernier un père de 46 ans était condamné à 6 ans de prison ferme pour avoir violé son propre fils pendant des années, relate la presse écrite. L’enfant subissait le pire quand le père avait bu, sous le regard complaisant de sa mère. C’est donc seul que le petit garçon s’était rendu […]

Ecrit par N.P – le mercredi 19 décembre 2018 à 08H18

Le 16 mars dernier un père de 46 ans était condamné à 6 ans de prison ferme pour avoir violé son propre fils pendant des années, relate la presse écrite. L’enfant subissait le pire quand le père avait bu, sous le regard complaisant de sa mère. C’est donc seul que le petit garçon s’était rendu à la gendarmerie de Saint-Benoît pour mettre fin à son calvaire.

Le parquet avait estimé que la peine de 6 années de prison ferme était trop clémente, la cour d’appel en a jugé autrement, elle a donc confirmé la condamnation en première instance.

 

Thèmes :
Message fin article

Avez-vous aimé cet article ?

Partagez-le sans tarder sur les réseaux sociaux, abonnez-vous à notre Newsletter,
et restez à l'affût de nos dernières actualités en nous suivant sur Google Actualités.

Pour accéder à nos articles en continu, voici notre flux RSS : https://www.zinfos974.com/feed
Une meilleure expérience de lecture !
nous suggérons l'utilisation de Feedly.

S’abonner
Notification pour
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires

Dans la même rubrique

Rodéos urbains au Port : 10 motos saisies et détruites par la Police

Alors que depuis le début de l’année, une recrudescence des rodéos motorisés a été observée au Port avec pour conséquences deux accidents graves de la route, une opération menée par la Police ce jeudi a permis la saisie de 10 motos impliqués dans cette pratique illégale. Les deux-roues ont été détruits.

Soupçons d’emplois illégaux au cabinet de la Région : La stratégie d’enquête décriée par la défense

En début d’audience pour ce premier jour de procès, les 11 prévenus de la Région Réunion, dirigée par Didier Robert de 2010 à 2021, ont nié toute faute malgré les poursuites pour détournement de fonds, prise illégale d’intérêts et de recel après un contrôle de la Chambre régionale des comptes. L’enquête préliminaire a révélé des emplois potentiellement fictifs, des recrutements discrétionnaires et des rémunérations excessives. Les avocats de la défense contestent la procédure, arguant notamment de partialité et d’imprécision des motifs de poursuite.