Les ex-employés de l'ARAST ont été reçus à 13h30 cet après-midi, à la préfecture. Ils ont pu rencontrer le cabinet du président Sarkozy en la personne de Matthieu Louvot, conseiller technique au cabinet. Les négociations ont mené à des promesses de résolution de la situation d'ici vendredi, avec la désignation d'un payeur pour les indemnités à reverser aux ex-salariés.
La rencontre a duré une vingtaine de minutes, rencontre dont sont sortis un peu déçus les manifestants : "Après tout ce qu'on nous a déjà dit, nous, nous voulons quelque chose d'écrit, de sûr". Pour eux, il ne s'agit pas encore de la fin du conflit. "On n'a pas eu de réponse si ce n'est que l'Elysée va peser de tout son poids sur le dossier pour essayer de mettre en place les choses", a précisé Valérie Bénard, porte-parole des ex-employés de l'ARAST. Elle rapportait aussi les propos de Matthieu Louvot : "La présidence de la République va s'impliquer pour que la situation évolue".
"Il ne peut pas nous donner de solutions car il découvre le dossier"
Selon ce qui a été dit durant l'audience, le conseiller technique du cabinet n'aurait jamais eu connaissance de l'affaire et découvrirait le cas de l'ARAST aujourd'hui même. "Il ne peut pas nous donner de solutions car il découvre le dossier, voilà sa raison", a continué Valérie Bénard. Les ex-employés de l'ARAST semblaient tout de même satisfaits du dialogue avec le représentant de la présidence : "Le conseiller était très à l'écoute, il a pris nos coordonnées et nous a donné les siennes, en nous promettant de nous tenir au courant". Une réunion est d'ores et déjà prévue à la préfecture, vendredi, entre les représentants de l'Elysée et les protagonistes de l'affaire, incluant les employés de l'ARAST, afin de décider de la suite des événements.
Pour finir, Valérie Bénard a conclu au nom de tous ses camarades de l'ARAST : "Nous, on a demandé une sortie de crise, peu importe la sortie, qu'on soit tous intégrés et qu'on nous paie nos 12 millions. On s'en fout de savoir qui paye, que ce soit l'État, le Conseil général ou l'AGS. On a aussi demandé un plus grand respect du Conseil général à notre égard." La pétition qui circulait a également été remise au cabinet du président, comptant finalement 10.200 signatures. Les militants n'en lâchent pas pour autant l'affaire, jusqu'à résolution complète de leur cas, et ont annoncé qu'ils passeront ce soir leur quinzième nuit au Conseil général.
La rencontre a duré une vingtaine de minutes, rencontre dont sont sortis un peu déçus les manifestants : "Après tout ce qu'on nous a déjà dit, nous, nous voulons quelque chose d'écrit, de sûr". Pour eux, il ne s'agit pas encore de la fin du conflit. "On n'a pas eu de réponse si ce n'est que l'Elysée va peser de tout son poids sur le dossier pour essayer de mettre en place les choses", a précisé Valérie Bénard, porte-parole des ex-employés de l'ARAST. Elle rapportait aussi les propos de Matthieu Louvot : "La présidence de la République va s'impliquer pour que la situation évolue".
"Il ne peut pas nous donner de solutions car il découvre le dossier"
Selon ce qui a été dit durant l'audience, le conseiller technique du cabinet n'aurait jamais eu connaissance de l'affaire et découvrirait le cas de l'ARAST aujourd'hui même. "Il ne peut pas nous donner de solutions car il découvre le dossier, voilà sa raison", a continué Valérie Bénard. Les ex-employés de l'ARAST semblaient tout de même satisfaits du dialogue avec le représentant de la présidence : "Le conseiller était très à l'écoute, il a pris nos coordonnées et nous a donné les siennes, en nous promettant de nous tenir au courant". Une réunion est d'ores et déjà prévue à la préfecture, vendredi, entre les représentants de l'Elysée et les protagonistes de l'affaire, incluant les employés de l'ARAST, afin de décider de la suite des événements.
Pour finir, Valérie Bénard a conclu au nom de tous ses camarades de l'ARAST : "Nous, on a demandé une sortie de crise, peu importe la sortie, qu'on soit tous intégrés et qu'on nous paie nos 12 millions. On s'en fout de savoir qui paye, que ce soit l'État, le Conseil général ou l'AGS. On a aussi demandé un plus grand respect du Conseil général à notre égard." La pétition qui circulait a également été remise au cabinet du président, comptant finalement 10.200 signatures. Les militants n'en lâchent pas pour autant l'affaire, jusqu'à résolution complète de leur cas, et ont annoncé qu'ils passeront ce soir leur quinzième nuit au Conseil général.