
Photo Lemauricien.com
Un métro léger conçu par une entreprise de Singapour effectuera, dans deux ans, ses premières liaisons sur rail à Maurice, entre Curepipe et Port-Louis, à une vitesse de 75 km/h, en transitant notamment par Vacoas, Quatre-Bornes, Rose-Hill, Beau-Bassin, Ebène ainsi que Bagatelle.
Avec 13 stations à desservir tout au long d’un réseau moderne de 25 kilomètres, la durée du trajet entre Curepipe et Port-Louis sera de 32 minutes, avec des rames climatisées d’une fréquence de 12 par heure.
"C’est un rêve pour la nation mauricienne qui se réalise. Après plusieurs efforts et études, on commence à avancer dans ce projet. On doit remercier le Premier ministre pour ce projet", a tenu à préciser le ministre mauricien des Infrastructures publiques au site Defimedia.info.
605 millions d’euros sur la base d’un partenariat public-privé
Ce projet pharaonique pour l'île Maurice va engager des investissements massifs de l'ordre de 23 milliards de roupies, soit environ 605 millions d’euros, sur la base d’un partenariat public-privé, pour mettre œuvre ce système de rame, made in Singapour et entièrement sur pilotis.
Depuis une trentaine d’années, le sujet d’un métro léger a la côte dans les couloirs gouvernementaux et pourtant les gouvernements successifs mauriciens, études à l’appui, ont toujours buté dans la phase ultime de finalisation.
Il aura fallu attendre la visite du Premier ministre actuel, Navin Ramgoolam, à Singapour en septembre 2010, où il a été impressionné par le métro léger singapourien.
Dès son retour à Maurice, le dossier est vite dépoussiéré et passe à la vitesse supérieure en quelques semaines.
Les premiers coups de pioche seront ainsi donnés fin 2013, avec un métro léger opérationnel à l’horizon de 2015 transportant 93.000 voyageurs par jour et 6.000 en heure de pointe.
Avec 13 stations à desservir tout au long d’un réseau moderne de 25 kilomètres, la durée du trajet entre Curepipe et Port-Louis sera de 32 minutes, avec des rames climatisées d’une fréquence de 12 par heure.
"C’est un rêve pour la nation mauricienne qui se réalise. Après plusieurs efforts et études, on commence à avancer dans ce projet. On doit remercier le Premier ministre pour ce projet", a tenu à préciser le ministre mauricien des Infrastructures publiques au site Defimedia.info.
605 millions d’euros sur la base d’un partenariat public-privé
Ce projet pharaonique pour l'île Maurice va engager des investissements massifs de l'ordre de 23 milliards de roupies, soit environ 605 millions d’euros, sur la base d’un partenariat public-privé, pour mettre œuvre ce système de rame, made in Singapour et entièrement sur pilotis.
Depuis une trentaine d’années, le sujet d’un métro léger a la côte dans les couloirs gouvernementaux et pourtant les gouvernements successifs mauriciens, études à l’appui, ont toujours buté dans la phase ultime de finalisation.
Il aura fallu attendre la visite du Premier ministre actuel, Navin Ramgoolam, à Singapour en septembre 2010, où il a été impressionné par le métro léger singapourien.
Dès son retour à Maurice, le dossier est vite dépoussiéré et passe à la vitesse supérieure en quelques semaines.
Les premiers coups de pioche seront ainsi donnés fin 2013, avec un métro léger opérationnel à l’horizon de 2015 transportant 93.000 voyageurs par jour et 6.000 en heure de pointe.