Un euro faible est un avantage compétitif selon l’industrie du tourisme.
Le tourisme, dans le monde, c‘est 1 milliard de touristes, un chiffre d’affaires représentant 9% du PIB mondial, et 1 emploi sur 11. De plus, la France reste la première destination touristique mondiale avec 84 millions de visiteurs internationaux.
Pour Didier Le Calvez, président Umih Prestige (Union des Métiers et des Industries de l'Hôtellerie), cette baisse de l’euro est bénéfique au secteur, et particulièrement à l’hôtellerie de prestige, occupée majoritairement par une clientèle étrangère : "Je ne peux qu’encourager les acteurs principaux, dont l’administration et les hôteliers, à faire preuve de pédagogie dans ce sens, pour que l’industrie touristique hexagonale bénéficie de cet impact positif, et de cette opportunité !"
"C’est une excellente nouvelle, une opportunité dont l’industrie touristique doit profiter. Dans un contexte économique qui reste tendu, une compétitivité accrue, et des événements tragiques de ces derniers jours, la baisse de l’Euro est une bouffée d’oxygène à terme. Si cette tendance se confirme, nous espérons voir revenir de façon encore plus marquée les clientèles américaines et asiatiques. Nous devons poursuivre nos efforts pour attirer cette clientèle, en mettant en avant nos savoir-faire et notre excellence. Gageons que la destination France en sorte gagnante! ", indique Didier Le Calvez.
Le tourisme, dans le monde, c‘est 1 milliard de touristes, un chiffre d’affaires représentant 9% du PIB mondial, et 1 emploi sur 11. De plus, la France reste la première destination touristique mondiale avec 84 millions de visiteurs internationaux.
Pour Didier Le Calvez, président Umih Prestige (Union des Métiers et des Industries de l'Hôtellerie), cette baisse de l’euro est bénéfique au secteur, et particulièrement à l’hôtellerie de prestige, occupée majoritairement par une clientèle étrangère : "Je ne peux qu’encourager les acteurs principaux, dont l’administration et les hôteliers, à faire preuve de pédagogie dans ce sens, pour que l’industrie touristique hexagonale bénéficie de cet impact positif, et de cette opportunité !"
"C’est une excellente nouvelle, une opportunité dont l’industrie touristique doit profiter. Dans un contexte économique qui reste tendu, une compétitivité accrue, et des événements tragiques de ces derniers jours, la baisse de l’Euro est une bouffée d’oxygène à terme. Si cette tendance se confirme, nous espérons voir revenir de façon encore plus marquée les clientèles américaines et asiatiques. Nous devons poursuivre nos efforts pour attirer cette clientèle, en mettant en avant nos savoir-faire et notre excellence. Gageons que la destination France en sorte gagnante! ", indique Didier Le Calvez.