
Les faits se sont déroulés ce mercredi 30 mars. Selon nos informations, un homme, employé municipal à la mairie de Saint-André, a déposé une plainte au commissariat pour menaces de mort avec arme.
Ses collègues l'avaient informé qu'un homme était venu à son poste de travail accompagné d'un autre individu "pour le tuer" selon leurs dires. L'individu aurait montré une sacoche indiquant qu'il y "aurait" une arme à feu à l'intérieur.
Toujours selon nos informations, la personne menacée a précisé aux enquêteurs que son collègue lui avait déjà porté un coup de couteau il y a 8 ans de cela et qu'il avait failli perdre la vie. Faisant suite à ce dépôt de plainte, les hommes du commissariat de Saint-André sont partis à la recherche des deux individus défavorablement connus de leurs services. Ils ont été finalement interpellés le même jour à 18h30 à bord d'un véhicule dont la fouille a mis en évidence une carabine à air comprimé de calibre 4,5 de catégorie D.
La réponse du CCAS l'énerve
Les deux hommes ont été entendus dans le cadre d'une garde à vue. L'employé de la commune qui a menacé son collègue a déclaré aux enquêteurs qu'il avait demandé un bon d'aide alimentaire auprès du CCAS où travaille la victime car il ne parvenait plus à s'acheter à manger. On lui avait répondu de monter un dossier, ce qui l'avait énervé. Il avait ensuite menacé de s'immoler s'il n'obtenait pas son bon. En revanche, il a réfuté toute menace envers son collègue. Il a reconnu que la carabine lui appartenait et qu'elle lui servait à tirer sur les rats. L'individu qui l'accompagnait a confirmé ses dires et a expliqué qu'il n'y avait pas d'arme dans sa sacoche.
Selon différents témoignages, le mis en cause était alcoolisé au moment des faits. Ils ont également confirmé que l'homme avait menacé son collègue à plusieurs reprises de lui "tirer une balle dans la tête".
Jeudi soir le mis en cause était toujours en garde à vue alors que son comparse de circonstance a été libéré, aucune charge n'ayant été retenue contre lui.
Ses collègues l'avaient informé qu'un homme était venu à son poste de travail accompagné d'un autre individu "pour le tuer" selon leurs dires. L'individu aurait montré une sacoche indiquant qu'il y "aurait" une arme à feu à l'intérieur.
Toujours selon nos informations, la personne menacée a précisé aux enquêteurs que son collègue lui avait déjà porté un coup de couteau il y a 8 ans de cela et qu'il avait failli perdre la vie. Faisant suite à ce dépôt de plainte, les hommes du commissariat de Saint-André sont partis à la recherche des deux individus défavorablement connus de leurs services. Ils ont été finalement interpellés le même jour à 18h30 à bord d'un véhicule dont la fouille a mis en évidence une carabine à air comprimé de calibre 4,5 de catégorie D.
La réponse du CCAS l'énerve
Les deux hommes ont été entendus dans le cadre d'une garde à vue. L'employé de la commune qui a menacé son collègue a déclaré aux enquêteurs qu'il avait demandé un bon d'aide alimentaire auprès du CCAS où travaille la victime car il ne parvenait plus à s'acheter à manger. On lui avait répondu de monter un dossier, ce qui l'avait énervé. Il avait ensuite menacé de s'immoler s'il n'obtenait pas son bon. En revanche, il a réfuté toute menace envers son collègue. Il a reconnu que la carabine lui appartenait et qu'elle lui servait à tirer sur les rats. L'individu qui l'accompagnait a confirmé ses dires et a expliqué qu'il n'y avait pas d'arme dans sa sacoche.
Selon différents témoignages, le mis en cause était alcoolisé au moment des faits. Ils ont également confirmé que l'homme avait menacé son collègue à plusieurs reprises de lui "tirer une balle dans la tête".
Jeudi soir le mis en cause était toujours en garde à vue alors que son comparse de circonstance a été libéré, aucune charge n'ayant été retenue contre lui.