L’homme a encaissé au total six chèques de 33.000 euros sur le compte du salon de beauté de sa femme, des chèques destinés à la société Sodimat. Les faits se déroulent entre juin 2007 et juillet 2008.
Yuen-Che-Wah est pourtant décrit comme un « brillant commercial » et ne semblait pas prédestiné à ce genre d’agissements. Afin d’arriver à ses fins il fabrique un « faux tampon encreur aux noms de Sodimat et institut Marino » précise le journaliste.
Sa femme n’est pas la seule bénéficiaire, sa belle-soeur aura également de nombreux « cadeaux ».
L’homme a été condamné à 18 mois de prison avec sursis et d’une mise à l’épreuve pendant trois ans. En plus du remboursement des 194.000 euros, il lui est interdit de gérer une entreprise durant trois ans.