
Près de trois semaines après l'annonce d'un premier montant équivalent à 16,8 milliards d'euros, on apprend dans les Echos que l'effort de l'Etat en direction de l'outremer atteindra la somme de 17,2 milliards d'euros dont 3,6 milliards en dépenses fiscales. Une somme supérieure à celle qui avait été enregistrée en 2009 selon le Document de politique transversale du ministère du Budget, soit 16,3 milliards d'euros.
On peut décomposer les 17 milliards effectivement inscrits dans le projet de loi de finances de la façon suivante : 13,4 milliards d'efforts financiers et 3,6 milliards de dépenses fiscales. Quant aux dépenses de personnel, elles devraient, selon les Echos, s'élever à 6,735 milliards d'euros en 2010.
La plus importante des dépenses fiscales est composée par la réduction d'impôt sur le revenu relatif aux investissements productifs réalisés dans l'outre-mer, soit 800 millions d'euros. Une somme identique à 2009. La réduction d'impôt sur le logement social et intermédiaire étant fixée à 110 millions d'euros.
Concernant l'île aux parfums, qui deviendra département français d'outre-mer en 2011, l'effort de l'Etat s'élève à 537,4 millions d'euros en crédit de paiement.
On peut décomposer les 17 milliards effectivement inscrits dans le projet de loi de finances de la façon suivante : 13,4 milliards d'efforts financiers et 3,6 milliards de dépenses fiscales. Quant aux dépenses de personnel, elles devraient, selon les Echos, s'élever à 6,735 milliards d'euros en 2010.
La plus importante des dépenses fiscales est composée par la réduction d'impôt sur le revenu relatif aux investissements productifs réalisés dans l'outre-mer, soit 800 millions d'euros. Une somme identique à 2009. La réduction d'impôt sur le logement social et intermédiaire étant fixée à 110 millions d'euros.
Concernant l'île aux parfums, qui deviendra département français d'outre-mer en 2011, l'effort de l'Etat s'élève à 537,4 millions d'euros en crédit de paiement.