Célibataire, votre heure est peut-être venue. Selon un sondage réalisé par l'IFOP pour le site charles.co, et publié mardi 5 mai dans Le Parisien, 10% des couples pensent à prendre de la distance après le confinement. 4% sont même prêts à une rupture définitive.
Cette tendance touche principalement les jeunes couples selon François Kraus, directeur du pôle Politique/Actualité à l'institut de sondage. Pour lui, le confinement a été "un poison et non un ciment".
Toujours selon l’enquête, 12% des personnes interrogées ne veulent pas revivre un confinement avec leur conjoint si cela devait se reproduire. Ce sont d’ailleurs les femmes qui préfèrent être confinées seules dorénavant. Les problématiques de répartition des tâches ménagères et la gestion des enfants à créer de nombreuses frustrations.
Le confinement a également eu un impact sur la sexualité des Français. La proportion de personnes ayant eu "au moins un rapport sexuel en 4 semaines" a chuté de 74 % à 56 %. "Le stress, l'angoisse liés à l'épidémie" a probablement altéré la sexualité dans le couple estime François Kraus.
Néanmoins, le sondage révèle que le confinement n’a eu aucun impact pour 60% des couples. Mieux, un tiers d’entre eux affirment s’être rapprochés durant cette période.
De leurs côtés, les sites et applications de rencontre se frottent déjà les mains.
Cette tendance touche principalement les jeunes couples selon François Kraus, directeur du pôle Politique/Actualité à l'institut de sondage. Pour lui, le confinement a été "un poison et non un ciment".
Toujours selon l’enquête, 12% des personnes interrogées ne veulent pas revivre un confinement avec leur conjoint si cela devait se reproduire. Ce sont d’ailleurs les femmes qui préfèrent être confinées seules dorénavant. Les problématiques de répartition des tâches ménagères et la gestion des enfants à créer de nombreuses frustrations.
Le confinement a également eu un impact sur la sexualité des Français. La proportion de personnes ayant eu "au moins un rapport sexuel en 4 semaines" a chuté de 74 % à 56 %. "Le stress, l'angoisse liés à l'épidémie" a probablement altéré la sexualité dans le couple estime François Kraus.
Néanmoins, le sondage révèle que le confinement n’a eu aucun impact pour 60% des couples. Mieux, un tiers d’entre eux affirment s’être rapprochés durant cette période.
De leurs côtés, les sites et applications de rencontre se frottent déjà les mains.