Ce mercredi, les membres du personnel de la SOREFI apprennent que l’un de leurs managers vient de recevoir ses résultats de dépistage. Ils sont positifs.
Il ne s’agissait là pour eux que d’une demi-surprise puisqu’il y a une semaine, lors d’une pause dans l’espace rafraichissement du siège à la Mare Sainte-Marie, cette manager avait eu une quinte de toux l’obligeant à retirer son masque puisqu’elle avait du mal à respirer. Tout le personnel savait à ce moment-là que cette manager était venue au boulot alors que son conjoint était déjà testé positif Covid. La manager était donc à ce moment-là cas-contact et poursuivait donc son travail en présentiel.
Faut-il pour autant y voir un lien avec la série de contaminations actuelle ? La direction indique que « c’est absolument faux, pour une raison très simple. Si on reprend les dates des tests des personnes concernées, ce n’est pas concomitant », affirme Jean Bernard Birades. « On s’est aperçu que sur l’ensemble des tests que l’on avait faits, il y a des personnes qui n’étaient pas présentes aux mêmes dates et qui sont asymptomatiques et donc porteuses de l’extérieur. Il n’y a donc pas de corrélation avec les transmissions », ajoute le directeur général de la SOREFI.
Le directeur confirme néanmoins le cluster, limité au siège de Sainte-Marie. « Nous avons des cas uniquement à Sainte-Marie. Notre siège a été touché mais par mesure de précaution, vis-à-vis des collaborateurs et des clients, on a fermé immédiatement le site et nous sommes en télétravail. On gère comme lors du confinement. Nous sommes aussi en contact avec l’ARS. Tout le monde a été testé. Nous attendons les résultats. Et nous ferons retester tout le monde dans sept jours. Si on doit reprendre, on reprendra progressivement », ajoute-t-il.
Des collaborateurs déplorent que la direction aurait pris plus de 24 heures pour décider de l'évacuation des locaux et le dépistage des collaborateurs.
A cette heure, à peu près 70 personnes ont été testées au sein du siège de la SOREFI à la Mare Sainte-Marie. Sur les 11 personnels covid+, 8 font partie de la direction et 3 du service clientèle.
Il ne s’agissait là pour eux que d’une demi-surprise puisqu’il y a une semaine, lors d’une pause dans l’espace rafraichissement du siège à la Mare Sainte-Marie, cette manager avait eu une quinte de toux l’obligeant à retirer son masque puisqu’elle avait du mal à respirer. Tout le personnel savait à ce moment-là que cette manager était venue au boulot alors que son conjoint était déjà testé positif Covid. La manager était donc à ce moment-là cas-contact et poursuivait donc son travail en présentiel.
Faut-il pour autant y voir un lien avec la série de contaminations actuelle ? La direction indique que « c’est absolument faux, pour une raison très simple. Si on reprend les dates des tests des personnes concernées, ce n’est pas concomitant », affirme Jean Bernard Birades. « On s’est aperçu que sur l’ensemble des tests que l’on avait faits, il y a des personnes qui n’étaient pas présentes aux mêmes dates et qui sont asymptomatiques et donc porteuses de l’extérieur. Il n’y a donc pas de corrélation avec les transmissions », ajoute le directeur général de la SOREFI.
Le directeur confirme néanmoins le cluster, limité au siège de Sainte-Marie. « Nous avons des cas uniquement à Sainte-Marie. Notre siège a été touché mais par mesure de précaution, vis-à-vis des collaborateurs et des clients, on a fermé immédiatement le site et nous sommes en télétravail. On gère comme lors du confinement. Nous sommes aussi en contact avec l’ARS. Tout le monde a été testé. Nous attendons les résultats. Et nous ferons retester tout le monde dans sept jours. Si on doit reprendre, on reprendra progressivement », ajoute-t-il.
Des collaborateurs déplorent que la direction aurait pris plus de 24 heures pour décider de l'évacuation des locaux et le dépistage des collaborateurs.
A cette heure, à peu près 70 personnes ont été testées au sein du siège de la SOREFI à la Mare Sainte-Marie. Sur les 11 personnels covid+, 8 font partie de la direction et 3 du service clientèle.