Pour la première fois depuis 22 ans de prospection maritime autour de La Réunion, une équipe de Globice Réunion a pu observer au large de Saint-Pierre une espèce jamais vue vivante jusqu'à présent dans nos eaux territoriales : le cachalot pygmée (Kogia breviceps).
“Le seul spécimen de cachalot pygmée que nous avions eu l'occasion d'identifier jusqu'ici était un animal mort à la suite d’un échouage”, a fait savoir Globice. Un individu de cette espèce est d'ailleurs naturalisé au Muséum d'Histoire Naturelle à Saint-Denis.
3,5 m de long pour 400 kg
Réputé très discret et difficile à approcher, on sait peu de choses sur le cachalot pygmée. Trapu, il peut atteindre 3,5 m de long et peser 400 kg. Sa petite nageoire dorsale et sa mâchoire caractéristique peuvent le faire confondre avec le requin.
“Le cachalot pygmée est la 25e espèce de cétacés potentiellement observable à La Réunion qui confirme son statut de véritable 'hotspot' de biodiversité marine”, se réjouit l’association étudiant et protégeant les mammifères marins qui approchent de l'île.
“Le seul spécimen de cachalot pygmée que nous avions eu l'occasion d'identifier jusqu'ici était un animal mort à la suite d’un échouage”, a fait savoir Globice. Un individu de cette espèce est d'ailleurs naturalisé au Muséum d'Histoire Naturelle à Saint-Denis.
3,5 m de long pour 400 kg
Réputé très discret et difficile à approcher, on sait peu de choses sur le cachalot pygmée. Trapu, il peut atteindre 3,5 m de long et peser 400 kg. Sa petite nageoire dorsale et sa mâchoire caractéristique peuvent le faire confondre avec le requin.
“Le cachalot pygmée est la 25e espèce de cétacés potentiellement observable à La Réunion qui confirme son statut de véritable 'hotspot' de biodiversité marine”, se réjouit l’association étudiant et protégeant les mammifères marins qui approchent de l'île.