
Le patronat rejette fermement la revendication supplémentaire du collectif : "50 euros de plus à compter du mois de septembre". Le Medef se dit dans l'impossibilité de trouver ces fonds supplémentaires, et exige, d'ailleurs, la réouverture immédiate de toutes les entreprises locales.
Toutefois, un accord a été trouvé dans la nuit de lundi après de longues heures de discussions entre les deux parties qui se sont mises d'accord sur un "compromis" demandé par le collectif contre la vie chère, à savoir l'augmentation nette de 200 euros des bas salaires dans l'immédiat.
La situation en Guadeloupe semble avancer. Le Président du MEDEF Guadeloupe, Willy Angèle déclarait hier, être prêt à signer "l'Accord Bino" conclu entre plusieurs organisations patronales minoritaires et le LKP, si "certaines clauses dangereuses étaient optimisées".
Le président du patronat guadeloupéen, recommande le versement d'une prime de vie chère qui évoluerait entre 50 et 100€.
Il a ajouté que "quand on fera le calcul des primes versées, le bonus de vie chère des salaires inférieurs à 1,4 SMIC, évoluera entre 200 et 250€".
Ces dispositions s'appliqueraient aux entreprises du MEDEF et de la CGPME, entre autres. Elles complèteraient l'accord "Jacques Bino" signé le 26 février dernier.
Par ailleurs le collectif LKP estime que le travail pourrait reprendre en Guadeloupe avant la fin de la semaine, même si cet accord salarial du 26 février reste encore à préciser.
Toutefois, un accord a été trouvé dans la nuit de lundi après de longues heures de discussions entre les deux parties qui se sont mises d'accord sur un "compromis" demandé par le collectif contre la vie chère, à savoir l'augmentation nette de 200 euros des bas salaires dans l'immédiat.
La situation en Guadeloupe semble avancer. Le Président du MEDEF Guadeloupe, Willy Angèle déclarait hier, être prêt à signer "l'Accord Bino" conclu entre plusieurs organisations patronales minoritaires et le LKP, si "certaines clauses dangereuses étaient optimisées".
Le président du patronat guadeloupéen, recommande le versement d'une prime de vie chère qui évoluerait entre 50 et 100€.
Il a ajouté que "quand on fera le calcul des primes versées, le bonus de vie chère des salaires inférieurs à 1,4 SMIC, évoluera entre 200 et 250€".
Ces dispositions s'appliqueraient aux entreprises du MEDEF et de la CGPME, entre autres. Elles complèteraient l'accord "Jacques Bino" signé le 26 février dernier.
Par ailleurs le collectif LKP estime que le travail pourrait reprendre en Guadeloupe avant la fin de la semaine, même si cet accord salarial du 26 février reste encore à préciser.