
Depuis plus de 2000 ans, nous avons une certaine expérience de la guerre. Nous connaissons les engrenages qui, à chaque fois, font monter la fièvre de tous les belligérants. Mais nous n’avons pas changé d’un iota notre stratégie un tout petit peu primitive. Comme des gamins, on s’écharpe jusqu’à ce que mort s’ensuive, jusqu’à ce que l’adversaire capitule ou soit physiquement détruit.
On interdit les corridas et les combats de coqs. Mais, qui osera interdire les guerres et ses crimes autrement plus atroces, plus gigantesques ? La guerre n’est ni un match de boxe ni un match de foot. Il est tout de même ahurissant de constater que même la dissuasion nucléaire n’a pas calmé le jeu. C’est d’ailleurs, semble-t-il, tout le contraire. Car elle permet à l’attaquant de modérer les réponses de l’adversaire : « Attention, ne m’énerve pas trop sinon je t’en envoie une ».
Il est temps, me semble-t-il de changer notre fusil d’épaule. Il est temps de comprendre que l’on ne peut plus jouer au ping-pong avec cette arme de destruction massive. L’absurdité d’une guerre nucléaire est telle que n’importe quel imbécile est capable de comprendre cela… sauf les marchands d’armes et leurs nombreux complices. Paradoxalement, cette arme met tout le monde à égalité. Appuyer sur le bouton, c’est détruire tout le monde, les pauvres, les riches, les faibles, les puissants. Notre grand philosophe Einstein nous l’a fort bien expliqué : « Je ne sais pas comment sera la troisième guerre mondiale, mais je sais qu'il n'y aura plus beaucoup de monde pour voir la quatrième ». On dit (avec le célèbre manipulateur des foules, Edward Bernays), que les puissants de ce Monde méprisent la tribu des sans-grade humains et prennent des décisions, ce que ce bas peuple est incapable de faire. En l’occurrence, les imbéciles que nous sommes, ont parfaitement compris cette absurdité, mais comme me l’a indiqué mon voisin Réunionnais, « Ici il y a longtemps qu’on a compris que ce n’est jamais le pot de terre qui gagne le combat contre le pot de fer ». Alors, qui sont les vrais imbéciles ?
On interdit les corridas et les combats de coqs. Mais, qui osera interdire les guerres et ses crimes autrement plus atroces, plus gigantesques ? La guerre n’est ni un match de boxe ni un match de foot. Il est tout de même ahurissant de constater que même la dissuasion nucléaire n’a pas calmé le jeu. C’est d’ailleurs, semble-t-il, tout le contraire. Car elle permet à l’attaquant de modérer les réponses de l’adversaire : « Attention, ne m’énerve pas trop sinon je t’en envoie une ».
Il est temps, me semble-t-il de changer notre fusil d’épaule. Il est temps de comprendre que l’on ne peut plus jouer au ping-pong avec cette arme de destruction massive. L’absurdité d’une guerre nucléaire est telle que n’importe quel imbécile est capable de comprendre cela… sauf les marchands d’armes et leurs nombreux complices. Paradoxalement, cette arme met tout le monde à égalité. Appuyer sur le bouton, c’est détruire tout le monde, les pauvres, les riches, les faibles, les puissants. Notre grand philosophe Einstein nous l’a fort bien expliqué : « Je ne sais pas comment sera la troisième guerre mondiale, mais je sais qu'il n'y aura plus beaucoup de monde pour voir la quatrième ». On dit (avec le célèbre manipulateur des foules, Edward Bernays), que les puissants de ce Monde méprisent la tribu des sans-grade humains et prennent des décisions, ce que ce bas peuple est incapable de faire. En l’occurrence, les imbéciles que nous sommes, ont parfaitement compris cette absurdité, mais comme me l’a indiqué mon voisin Réunionnais, « Ici il y a longtemps qu’on a compris que ce n’est jamais le pot de terre qui gagne le combat contre le pot de fer ». Alors, qui sont les vrais imbéciles ?