
Emeline Vidot (au centre) est pressentie pour être le nouveau visage de l'association
C'est lors d'un point presse qui s'annonçait comme "habituel" que la présidente de l'Union des Femmes Réunionnaises, Huguette Bello, a pour la première fois évoqué l'idée de sa succession.
La présence à ses côtés et comme très souvent lors des derniers rassemblements de l'association de la jeune Emeline Vidot n'est pas étrangère à ce remaniement qui se trame.
Pour une association qui se dit "progressiste", affirme Huguette Bello, quoi de plus normal que de donner sa chance à la jeunesse.
Une assemblée générale prévue le 10 mars à Vue Belle en dira un peu plus sur les conditions de cette succession annoncée.
Huguette Bello a surtout profité de ce point presse pour rappeler ses intentions dans le vote d'une loi-cadre contre les violences faites aux femmes.
Sous l'ancienne législature, un texte en ce sens avait bien été présenté, mais jamais il n'a été inscrit à l'examen des deux assemblées. Avec cette majorité de gauche depuis 2012, la présidente de l'UFR a de quoi espérer que l'essai soit enfin transformée. "Avec une ministre des Droits des femmes, nous espérons avoir une oreille attentive de madame Belkacem", imagine sans mal Huguette Bello.
Sa détermination est toujours présente : "au cours de cette législature, il faut que cela se fasse". Huguette Bello dit "travailler sur cette proposition de loi-cadre au sein de son groupe parlementaire". Mais si elle venait à aboutir, Huguette Bello prévient d'ores et déjà, il faudra des moyens pour qu'elle soit appliquée.
La présence à ses côtés et comme très souvent lors des derniers rassemblements de l'association de la jeune Emeline Vidot n'est pas étrangère à ce remaniement qui se trame.
Pour une association qui se dit "progressiste", affirme Huguette Bello, quoi de plus normal que de donner sa chance à la jeunesse.
Une assemblée générale prévue le 10 mars à Vue Belle en dira un peu plus sur les conditions de cette succession annoncée.
Huguette Bello a surtout profité de ce point presse pour rappeler ses intentions dans le vote d'une loi-cadre contre les violences faites aux femmes.
Sous l'ancienne législature, un texte en ce sens avait bien été présenté, mais jamais il n'a été inscrit à l'examen des deux assemblées. Avec cette majorité de gauche depuis 2012, la présidente de l'UFR a de quoi espérer que l'essai soit enfin transformée. "Avec une ministre des Droits des femmes, nous espérons avoir une oreille attentive de madame Belkacem", imagine sans mal Huguette Bello.
Sa détermination est toujours présente : "au cours de cette législature, il faut que cela se fasse". Huguette Bello dit "travailler sur cette proposition de loi-cadre au sein de son groupe parlementaire". Mais si elle venait à aboutir, Huguette Bello prévient d'ores et déjà, il faudra des moyens pour qu'elle soit appliquée.