Le 11 décembre dernier, un habitant de Turquant dans le Maine-et-Loire découvrait un épagneul breton enterré vivant. L’animal jappait de détresse sous une couche de terre recouverte par des tôles.
Une découverte horrible qui suscite l’émoi dans la ville et sur les réseaux sociaux. Hier, un rassemblement a été organisé par l’association Droits de vivre qui a également récolté 33 000 signatures sur une pétition lancée en ligne.
Après plus de deux jours de soins, pour abréger ses souffrances, Aslan avait dû être euthanasié. L’association a porté plainte. Interpellé et placé en garde à vue, le propriétaire, âgé de 44 ans a prétexté penser que le chien était déjà mort, selon Le Courrier de l’ouest.
Poursuivi pour « sévices et cruauté envers un animal domestique » , il encourt jusqu’à 30 000 euros d’amende et deux ans de prison.