
Les salariés grévistes de Citroën continuent leur mouvement. Ils entament leur troisième semaine de grève devant les concessions de la marque aux chevrons. La médiation du 2 décembre dernier à la Dieccte n'a rien donné et depuis aucune rencontre n'a été programmée au grand dam du syndicat CGTR-CMR.
"Il n'y a rien, c'est le calme plat. Les autorités ne bougent pas que ce soit du côté de la direction du travail ou de la Préfecture", explique le secrétaire général adjoint de la CGTR-CMR, Sébastien Faconnier. Face à l'attentisme de la direction, les grévistes ont décidé de remettre en place un barrage filtrant chemin Grand Canal, à la Technopole. "Les salariés non-grévistes entrent normalement sur leur lieu de travail. Par contre les membres de la direction peuvent rentrer travailler, mais seulement à pied. On leur demande de se garer à l'extérieur", poursuit-il.
Face au pourrissement de la situation, une partie des grévistes devrait entamer une grève de la faim. "On s'est réuni en assemblée générale hier (dimanche ndlr). Les salariés sont à bout et ont décidé d'aller plus loin car rien ne bouge. Ils vont entamer une grève de la faim. Ils se préparent pour", souligne Sébastien Faconnier.
Une grève de la faim qui pourrait bien se passer sous les grilles de la préfecture...
"Il n'y a rien, c'est le calme plat. Les autorités ne bougent pas que ce soit du côté de la direction du travail ou de la Préfecture", explique le secrétaire général adjoint de la CGTR-CMR, Sébastien Faconnier. Face à l'attentisme de la direction, les grévistes ont décidé de remettre en place un barrage filtrant chemin Grand Canal, à la Technopole. "Les salariés non-grévistes entrent normalement sur leur lieu de travail. Par contre les membres de la direction peuvent rentrer travailler, mais seulement à pied. On leur demande de se garer à l'extérieur", poursuit-il.
Face au pourrissement de la situation, une partie des grévistes devrait entamer une grève de la faim. "On s'est réuni en assemblée générale hier (dimanche ndlr). Les salariés sont à bout et ont décidé d'aller plus loin car rien ne bouge. Ils vont entamer une grève de la faim. Ils se préparent pour", souligne Sébastien Faconnier.
Une grève de la faim qui pourrait bien se passer sous les grilles de la préfecture...